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Adolescent et stress – Réduire le stress de votre adolescent

Adolescent et stress – Réduire le stress de votre adolescent

L’adolescence, cette période de transition si singulière, est marquée par une effervescence neuronale. Le contexte scolaire et les enjeux d’orientation contribue à installer cette association souvent négligée : adolescent et stress.

Les neurosciences et la psychologie nous offrent aujourd’hui des clés précieuses pour comprendre la relation entre adolescent et stress et accompagner notre enfant  dans cette étape cruciale.

Un sanctuaire de paix à la maison.

Les recherches en neurosciences montrent que notre environnement influence directement notre cerveau. Un espace harmonieux et serein stimule la production de neurotransmetteurs positifs, tels que la sérotonine. En créant un environnement apaisant, avec des espaces dédiés à la détente, des couleurs douces et une ambiance chaleureuse, vous offrez à votre adolescent un refuge contre le tumulte extérieur. C’est un investissement dans sa lutte contre le stress.

Et ce bien-être, si précieux, se nourrit également de la qualité des échanges au sein du foyer.

Le dialogue, cette danse délicate.

La psychologie nous enseigne l’importance de la validation émotionnelle. En écoutant activement votre adolescent, vous renforcez son sentiment de valeur et d’appartenance. Cela stimule la libération d’ocytocine, l’hormone de l’attachement. Organisez des moments privilégiés, sans distractions, pour discuter de ses préoccupations, rêves et aspirations.

Ces échanges renforceront le lien parent-enfant et offriront à votre adolescent un espace sécurisé pour s’exprimer.

Mais au-delà des mots, il est parfois nécessaire de trouver d’autres moyens d’expression, plus libres et plus instinctifs.

L’expression créative, le reflet de l’âme.

L’art a ce pouvoir magique de transformer les émotions en chef-d’œuvre. Les neurosciences nous montrent que la création artistique active des zones du cerveau liées à l’émotion et à la récompense.

Encouragez votre adolescent à s’exprimer à travers différents médiums artistiques, que ce soit la peinture, la musique, la danse ou l’écriture.

C’est une voie d’évasion, un moyen de canaliser ses émotions et de stimuler la production de dopamine.

Et dans cette quête d’équilibre intérieur, la méditation se présente comme une alliée précieuse.

La méditation, voyage intérieur.

La méditation a fait l’objet de nombreuses études scientifiques. Elle favorise la croissance du cortex préfrontal, zone liée à la prise de décision et à la régulation émotionnelle. En initiant votre adolescent à cette pratique, vous lui offrez un outil précieux pour se recentrer, respirer et appréhender le monde avec sérénité. Des séances régulières peuvent aider à réduire l’anxiété et à améliorer la concentration.

Mais la sérénité ne se trouve pas uniquement en soi, elle se découvre aussi dans l’immensité de la nature.

La nature, miroir de l’âme.

La psychologie environnementale a mis en évidence les effets bénéfiques de la nature sur notre bien-être mental. Une simple promenade en forêt ou au bord de la mer peut réduire le niveau de cortisol, l’hormone du stress.

Encouragez votre adolescent à passer du temps à l’extérieur, à se reconnecter à la nature, à ressentir la terre sous ses pieds, le vent dans ses cheveux. Ces moments de communion avec la nature sont essentiels pour son équilibre émotionnel.

Et cet équilibre se nourrit également de ce que nous offrons à notre corps.

L’alimentation, essence de la vie.

Les neurosciences nutritionnelles nous montrent que notre alimentation influence notre humeur. Les aliments riches en oméga-3, par exemple, ont un effet positif sur le cerveau.

En partageant des repas équilibrés avec votre adolescent, vous contribuez à son équilibre émotionnel.

Explorez ensemble de nouvelles recettes, discutez des bienfaits de chaque aliment et faites de la cuisine un moment de partage et de découverte.

Après le repas, le repos est essentiel pour recharger les batteries.

La nuit, berceau des rêves.

Le sommeil est essentiel pour la consolidation de la mémoire et la régulation des émotions. Durant l’adolescence, le rythme circadien est décalé. Veillez à ce que votre adolescent bénéficie d’un sommeil réparateur, loin des distractions numériques.

Et à l’aube d’un nouveau jour, encouragez-le à poursuivre ses passions, ces étoiles qui guident sa voie.

Passions, étoiles guide.

La psychologie positive nous enseigne que la poursuite de passions stimule le sentiment d’accomplissement et de compétence. Soutenez votre adolescent dans sa quête, qu’elle soit artistique, sportive ou intellectuelle.

C’est en suivant cette étoile qu’il trouvera son chemin et développera sa confiance en lui.

La vraie connexion.

Les interactions sociales activent le système de récompense du cerveau, libérant ainsi de la dopamine. Encouragez votre adolescent à privilégier les échanges réels, les rires partagés, les regards échangés. Organisez des sorties, des rencontres, des activités en groupe pour favoriser ces moments de partage.

Être le phare dans la tempête.

En tant que modèle, vous guidez votre adolescent dans la découverte de lui-même. La psychologie du développement nous montre que votre attitude, vos réactions et vos valeurs influencent profondément sa construction identitaire.

Montrez-lui, à travers vos actions, comment affronter les défis avec grâce et détermination. Vous pourrez de cette manière mettre fin à ce duo ravageur : adolescent et stress.

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Motiver un adolescent

Découvrez les clés pour motiver les adolescents dans leur vie quotidienne. Notre article explore les différents facteurs qui influencent leur motivation, ainsi que les stratégies efficaces pour encourager leur engagement et leur épanouissement. Ne manquez pas nos conseils pratiques pour soutenir les adolescents dans leur quête de sens et d’autonomie.

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Bilan d’orientation et motivation scolaire

Bilan d’orientation et motivation scolaire

Comment un bilan d’orientation scolaire peut-il aider à accroître la motivation et donc réduire le décrochage scolaire ?

Le décrochage scolaire est un enjeu majeur. Il concerne de nombreux jeunes chaque année. Comment y remédier ? Une piste est d’effectuer un bilan d’orientation scolaire. Réflécher à son avenir de manière concrète permet de soutenir la motivation scolaire intrinsèque.

L’orientation scolaire est un processus clé dans le parcours éducatif. Elle aide les élèves à définir leurs objectifs de carrière, les guide dans le choix de leurs études.

On néglige trop souvent le fait qu’elle  joue un rôle crucial dans la prévention du décrochage scolaire (Genoud, Ruiz & Gurtner, 2013).

Les bilans d’orientation sont des outils précieux. Ils permettent d’évaluer les intérêts, les compétences et les aspirations des élèves. Ils aident à identifier les filières d’études adaptées à chaque élève.

Des études montrent que l’adéquation entre les intérêts des élèves et leur filière d’études influence leur motivation (Péters, 2022). Or, une motivation élevée est associée à une persévérance scolaire plus forte.

Un bilan d’orientation bien conduit peut donc augmenter la motivation des élèves. Il les aide à voir la pertinence de leurs études. Il leur donne également une vision claire de leur avenir professionnel.

Cela réduit alors le risque de décrochage scolaire. En effet, le manque de clarté sur l’avenir professionnel est un facteur identifié de décrochage.

Plusieurs raisons peuvent faire du manque de clarté sur l’avenir professionnel un facteur de décrochage scolaire.

Perte de motivation : Les élèves qui ne voient pas comment leurs études mènent à un avenir professionnel clair et désirable sont directement menacés de perdre leur motivation à apprendre. La pertinence de ce qu’ils apprennent en classe pour leur vie future leur échappe, ce qui diminue par conséquent leur engagement scolaire.

Incertitude et stress : L’avenir incertain génère du stress et de l’anxiété, et cela affecte la performance académique et la motivation à rester à l’école. La pression de prendre des décisions importantes sur leur parcours éducatif et professionnel submerge les élèves incertains de leur avenir.

Choix de filière inadéquat : Les élèves qui n’ont pas une vision claire de leur avenir risquent de choisir une filière d’études qui ne correspond pas à leurs intérêts ou à leurs compétences. Cela entraîne généralement un manque d’engagement et augmente alors le risque de décrochage scolaire (Genoud, Ruiz & Gurtner, 2013).

Manque d’accompagnement et de soutien : D’une manière générale, le manque de clarté sur l’avenir et la difficulté à se projeter dans des études ou une profession sont le signe d’un manque de soutien en matière d’orientation scolaire.

Or, sans un soutien adéquat, les élèves rencontrent généralement des difficultés pour naviguer dans le système éducatif et prendre des décisions éclairées sur leur avenir, ce qui peut augmenter une fois de plus le risque de décrochage scolaire (Falardeau, Guay, Bradet & Boulet, 2022).

De plus, le bilan d’orientation peut aider à identifier les élèves en perte de motivation scolaire. Donc à risque de décrochage. Il peut permettre une intervention précoce.

Évaluation des intérêts : Un bilan d’orientation évalue généralement les intérêts de l’élève. Une faible motivation peut se manifester si l’élève montre peu d’intérêt pour les sujets de sa filière actuelle.

Évaluation des compétences : L’évaluation des compétences fait aussi partie du bilan d’orientation. Si l’élève excelle dans certains domaines mais a du mal dans sa filière actuelle, cela peut signaler une perte de motivation due à un décalage entre ses compétences et sa filière.

Discussion des objectifs de carrière : Le bilan d’orientation comprend une discussion sur les objectifs de carrière. Une perte de motivation peut se manifester si l’élève a du mal à exprimer ses objectifs de carrière ou semble indifférent à cette discussion.

Suivi des performances académiques : Le bilan d’orientation suit aussi les performances académiques de l’élève. Une baisse soudaine des notes ou une participation réduite en classe peut signaler une perte de motivation.

En repérant les élèves en perte de motivation grâce au bilan d’orientation, on peut intervenir rapidement pour réengager ces élèves et prévenir le décrochage scolaire.

En conclusion, les bilans d’orientation sont des outils précieux. Ils peuvent jouer un rôle clé dans la prévention du décrochage scolaire. Ils méritent d’être utilisés de manière systématique et rigoureuse.

Références :

  • Genoud, P. A., Ruiz, G., & Gurtner, J. (2013). Évolution de la motivation scolaire des adolescents. Différences selon la filière et le genre. Lire l’article.
  • Péters, S. (2022). Soutenir la motivation scolaire des adolescents : comprendre et agir sur base de principes neuroéducatifs. Lire l’article.
  • Nikitskaya, M. (2022). Learning Achievement Goals and Personality Orientation in the Structure of Learning Motivation of Adolescents. Lire l’article.
  • Falardeau, É., Guay, F., Bradet, R., & Boulet, J. (2022). La motivation scolaire d’élèves québécois du deuxième cycle du secondaire en temps de pandémie. Lire l’article.

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Gérer le comportement oppositionnel d’un enfant  TDAH

Gérer le comportement oppositionnel d’un enfant TDAH

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En tant que parent, il est possible que le comportement de votre enfant atteint de TDA/H soit problématique. Les groupes d’habiletés parentales de Barkley  forment les parents à adopter des stratégies pour gérer le comportement oppositionnel de leur enfant.

Les jeunes concernés par le TDA/H développent parfois des troubles oppositionnels. On trouve un certain nombre de causes à cela.

  • En premier lieu, ces enfants souffrent facilement de frustration. Ils ont souvent du mal à se concentrer, à suivre des instructions et à terminer les tâches. Cette frustration peut conduire à des comportements oppositionnels, des crises de colère ou de la désobéissance.
  • L’aversion à la frustration est un trait très souvent retrouvé chez les jeunes qui présentent des troubles oppositionnels.
  • Ils peuvent également connaître des difficultés de régulation émotionnelle. C’est également générateur de comportements opposants. Un enfant peut réagir agressivement lorsqu’il est confronté à une situation anxiogène.
  • Les enfants TDA/H sont par ailleurs fréquemment plus sensibles au stress environnemental. Des changements dans leur environnement, des modifications de routine, des conflits familiaux ou des pressions scolaires peuvent les amener à adopter un comportement opposant.
  • Ces jeunes rencontrent aussi parfois des difficultés à communiquer de manière efficace. Ce qui peut conduire à des malentendus ou à une mauvaise interprétation de leurs intentions. Cette incompréhension peut à son tour nourrir leur frustration et provoquer des comportements inadaptés. Comportement oppositionnel TDAH barkley

Heureusement, tous les enfants atteints de TDA/H ne développent pas des comportements opposants. Cependant, pour les parents de ceux qui le font, il est important de comprendre les facteurs qui contribuent à ces comportements afin de les gérer de manière appropriée. Comportement oppositionnel TDAH barkley

C’est là que les groupes d’habiletés parentales de Barkley peuvent aider. Ils apportent aux parents des compétences pratiques pour mieux comprendre le trouble et aider leur enfant à développer des compétences d’adaptation. L’objectif est de contrôler le comportement oppositionnel lié au TDAH.

Les sujets abordés dans ces groupes sont la communication efficace, la gestion des comportements difficiles, la promotion de l’autonomie et l’amélioration des compétences sociales.
Les parents apprennent également des stratégies pour améliorer l’environnement à la maison et à l’école pour leur enfant.Comportement oppositionnel TDAH barkley

Les méthodes éducatives de Barkley reposent sur plusieurs principes clés visant à améliorer le fonctionnement social, émotionnel et comportemental de leur enfant.

Les points essentiels de la méthode mise en œuvre dans ces groupes sont les suivants :

  • Comprendre les caractéristiques du TDA/H et accepter l’enfant tel qu’il est. Cela aide les parents à adopter une approche positive et proactive pour aider leur enfant à gérer ses symptômes.
  • Reconnaître et renforcer les comportements positifs au lieu de se concentrer uniquement sur les comportements négatifs. Cela aide l’enfant à se sentir valorisé et soutenu, ce qui renforce sa confiance en lui et son estime de soi.
  • Mettre en place des stratégies de renforcement pour encourager les comportements attendus et réduire les comportements opposants.
  • Utiliser des conséquences appropriées aux comportements inappropriés de leur enfant. Apprendre à utiliser des sanctions éducatives efficaces et respectueuses de l’enfant.
  • Communiquer efficacement avec son enfant et écouter attentivement ses besoins et ses préoccupations afin de renforcer la relation et améliorer la compréhension mutuelle.

En appliquant les principes éducatifs de Barkley, les parents développent des compétences pour aider leur enfant atteint de TDA/H. Ainsi, il apprend à gérer ses symptômes et à développer des comportements positifs.Ces groupes sont structurés en plusieurs étapes :

  1. Introduction. Cette première étape vous permet  de vous familiariser avec les autres participants. Les parents auront l’occasion de discuter de leur expérience avec le TDA/H de leur enfant. Un groupe Barkley est également un groupe de soutien mutuel.
  2. Éducation. À cette étape vous aurez une compréhension plus approfondie du TDA/H et de ses effets sur le comportement de votre enfant.
  3. Développement des compétences. Vous apprendrez comment aider votre enfant à gérer les symptômes du TDA/H. Vous apprendrez également à mettre en place des stratégies de communication efficace. L’objectif est savoir gérer les comportements difficiles. C’est également de promouvoir l’autonomie et le développement des compétences sociales de votre enfant.
  4. Mise en application. Ce sera le moment de mettre en pratique les compétences qu’ils ont apprises dans le groupe en utilisant des exemples de situations réelles qu’ils ont rencontrées à la maison ou à l’école. Les animateurs du groupe donneront des commentaires et des conseils pour vous aider à améliorer votre approche.
  5. Consolidation des compétences. Cette dernière étape vous permet d’intégrer les compétences acquises dans votre vie quotidienne. De cette manière, vous pourrez continuer à soutenir votre enfant.

L’objectif est de fournir aux parents un soutien continu et des compétences pratiques pour aider leur enfant à vivre avec le TDA/H.

Les parents qui assistent à ces groupes se sentent plus confiants dans leur capacité à gérer les comportements de leur enfant. Ils  les aident aussi à développer leurs compétences d’adaptation. En outre, le groupe offre aux parents un soutien émotionnel et l’occasion de rencontrer d’autres parents qui font face aux mêmes difficultés.

Si vous êtes un parent d’un enfant atteint de TDA/H, les groupes d’habiletés parentales de Barkley constituent une option précieuse. Ils vous aideront à mieux comprendre la situation de votre enfant et à améliorer la vie de votre famille.

Si vous êtes à la recherche d’astuces pour accompagner la scolarité de votre enfant, vous pouvez également vous référer à cet article : https://eklosia.com/comprendre-le-tdah

L’association TDA/H France est également une source d’informations très précieuse.

 

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Les devoirs à l’école primaire

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L’anxiété de performance

L’anxiété de performance est une des sources les plus fréquentes de mal-être pour les adolescents. Comment l’identifier et que faire ?

Le mode diffus

Le mode diffus

Dans la scolarité, on valorise largement l’attention et la concentration. C’est pourtant une erreur.

Être attentif et concentré est pour la plupart des gens l’alpha et l’oméga des apprentissages. On sait pourtant maintenant que notre cerveau a tout autant besoin de temps libre que de concentration.

Deux modes d’activité cérébrale complémentaires s’opposent : « le mode de fonctionnement concentré » et « le mode diffus».

Ces deux modes s’associent à différentes fonctions cognitives et à des états mentaux distincts. Dans cet article, nous examinerons les différences entre le mode par défaut et le mode concentré, ainsi que les implications de ces deux modes pour la santé mentale et le bien-être.

Le mode de fonctionnement diffus.

La théorie du Réseau du mode par défaut (RMD) ou mode diffus est une théorie de neurosciences qui décrit l’activité cérébrale qui se produit lorsque l’esprit est au repos ou ne se concentre pas sur une tâche spécifique.

Selon cette théorie, le cerveau est constitué d’un réseau de régions cérébrales qui s’activent de manière cohérente lorsqu’un individu est au repos et qu’il n’a pas d’objectif spécifique en tête. Dans ce mode, le cerveau a une activité électrique et métabolique faible à modérée dans de nombreuses régions, plutôt qu’une activité intense dans une seule région.

Le mode diffus intervient dans un certain nombre de fonctions mentales supérieures. Il s’agit de la réflexion introspective, la planification de l’avenir, la mémoire autobiographique et la pensée créative. Il joue également un rôle dans la reconnaissance de soi, la théorie de l’esprit (la capacité de comprendre les pensées et les émotions des autres) et la gestion des émotions.
Le mode diffus est essentiel pour le traitement et l’intégration de l’information dans le cerveau. Mais il l’est aussi pour la coordination entre les différentes régions cérébrales. Les recherches révèlent que l’activité cérébrale dans ce réseau est altérée chez les personnes atteintes de troubles neurologiques. C’est le cas de la maladie d’Alzheimer et du trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

Le mode de fonctionnement diffus est plus actif lorsque nous sommes seuls ou que nous sommes engagés dans des activités qui n’exigent pas notre attention immédiate, comme la marche, la méditation ou la rêverie.

Il existe plusieurs façons de favoriser le passage en mode de fonctionnement diffus :

Prendre des pauses régulières. Cela peut être aussi simple que de prendre une pause de 10 à 15 minutes toutes les heures ou deux heures.

Pratiquez la méditation : elle permet de calmer votre esprit, de vous concentrer sur votre respiration et de vous aider à entrer dans un état de relaxation profonde.

Promenez-vous, de préférence dans la nature : les promenades dans la nature favorisent une augmentation de l’activité cérébrale dans le mode de fonctionnement diffus. Le simple fait de marcher dans un environnement naturel vous aide à vous concentrer sur vos pensées et à entrer dans un état de réflexion introspective.

Ayez des activités créatives comme la peinture, la musique ou l’écriture. Ces activités vous permettent d’entrer en mode de fonctionnement diffus. Elles stimulent votre cerveau de manière, favorisent la pensée divergente et encouragent la réflexion introspective.

En général, toutes les activités qui vous permettent de vous détendre et de vous concentrer sur vos pensées favorisent le passage en mode diffus.

Il est important de trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous et de l’incorporer régulièrement dans votre routine quotidienne.

En revanche, lorsque nous sommes concentrés sur une tâche, le mode de fonctionnement diffus est inhibé. Le mode de fonctionnement focalisé, qui implique une activité cérébrale plus intense et plus localisée, prend le relais.

Le mode concentré.

Ce mode d’activité, quant à lui, correspond à une activité cérébrale ciblée et intentionnelle. Il se caractérise par une activation dans les régions du cortex préfrontal dorsolatéral et du cortex pariétal supérieur.

Le mode concentré intervient lorsque nous sommes engagés dans une tâche spécifique qui exige notre attention et notre concentration. En général, ce mode s’associe à une meilleure performance cognitive. Il nous permet de traiter efficacement l’information et d’atteindre nos objectifs.

Le mode par défaut et le mode concentré sont des états mentaux distincts. Ils ont des implications importantes pour la santé mentale et le bien-être.

Le mode par défaut est souvent associé à l’anxiété, à la rumination mentale et à la dépression. Les personnes qui ont tendance à passer beaucoup de temps dans le mode par défaut peuvent avoir du mal à se concentrer sur des tâches spécifiques et peuvent être plus sujettes à l’inquiétude et à l’appréhension.

À l’inverse, les personnes anxieuses ou déprimées peuvent également éviter les activités favorisant le mode diffus qui leur donne le sentiment d’accroître leur rumination.

Le mode concentré est souvent associé à une meilleure santé mentale et à un plus grand bien-être. Les personnes capables de se concentrer efficacement sur des tâches spécifiques ont tendance à être moins anxieuses et moins déprimées que celles qui passent beaucoup de temps dans le mode par défaut.

Passer plus facilement du mode par défaut au mode concentré améliore la santé mentale et le bien-être général.

Il existe donc plusieurs façons de favoriser le passage en mode de fonctionnement concentré :

Planifiez et établissez des objectifs clairs : déterminez clairement les tâches que vous devez accomplir et définissez des objectifs précis. Cela vous aidera à vous concentrer sur les tâches importantes et à éviter les distractions.

Éliminez les distractions : éteignez votre téléphone portable, fermez les réseaux sociaux et éloignez-vous des sources de distractions potentielles.

Créez un environnement calme et propice à la concentration.

Utilisez des techniques de gestion du temps, comme la technique Pomodoro, qui consiste à travailler en blocs de temps définis avec des pauses régulières. Cela vous aidera à rester concentré pendant de courtes périodes.

Pratiquez la méditation. Elle améliore votre capacité à vous concentrer. Pratiquez la respiration profonde et concentrez-vous sur un objet spécifique pour améliorer votre concentration.
Établissez une routine régulière pour vos tâches quotidiennes afin de vous entraîner à vous concentrer plus efficacement. Cela vous aidera également à éviter les distractions inutiles.

Évitez de vous surcharger d’informations en limitant votre exposition aux médias sociaux, aux e-mails et aux autres distractions. Cela vous aidera à vous concentrer sur les tâches importantes.

Faites de l’exercice régulièrement pour améliorer votre capacité de concentration. L’exercice aide à réduire le stress et à augmenter la production de neurotransmetteurs qui améliorent la concentration.

En général, pour favoriser le passage en mode concentré, il est important de créer un environnement calme et propice à la concentration, d’établir des objectifs clairs, de pratiquer la méditation et d’éviter les distractions inutiles.

Il est également important de se donner des pauses régulières pour éviter la fatigue mentale.

Trouvez les stratégies qui fonctionnent le mieux pour vous et incorporez-les dans votre routine quotidienne.

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Apprendre comment apprendre

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L’objectif principal de cette présentation est de transmettre les notions clés de la formation « Apprendre comment apprendre » pour que toutes les personnes puissent disposer des connaissances et des outils pour apprendre efficacement et durablement.

  • Comprendre comment apprend le cerveau

  • Comprendre l’encodage des informations

  • Comprendre le fonctionnement de la mémoire

  • Les écueils à éviter lors des apprentissages

  • Les techniques utiles pour apprendre efficacement

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L’anxiété de performance

L’anxiété de performance

L’anxiété de performance chez les adolescents : comment la reconnaître et les aider à la surmonter

Avertissement : l’évaluation et la prise en charge d’une anxiété sévère relèvent d’un professionnel de santé mentale. Cet article n’a pas vocation à remplacer l’avis d’un psychologue ou d’un psychiatre.

L’anxiété de performance touche aujourd’hui de nombreux adolescents, souvent des jeunes sérieux, investis, soucieux de bien faire. Pour eux, la moindre évaluation – un contrôle, un exposé, un match, une audition – peut devenir une source de tension intense. Dans les familles, cette anxiété est parfois difficile à comprendre : elle peut ressembler à de la procrastination, à de la démotivation ou à un comportement opposant. Pourtant, à l’intérieur, l’adolescent vit une pression très forte, nourrie par la peur d’échouer, la crainte du regard des autres et l’impression que sa valeur dépend du résultat.

L’école occupe un rôle central dans cette dynamique. Mais l’anxiété de performance ne se limite pas au scolaire : elle apparaît aussi dans les pratiques sportives, les disciplines artistiques ou toute situation où l’adolescent se sent exposé. Plus cette pression s’installe, plus elle modifie le rapport de l’adolescent à ses apprentissages et à lui-même. C’est ainsi que certains jeunes, pourtant compétents, perdent leurs moyens ou se retrouvent incapables d’exploiter leurs ressources au moment de l’évaluation.

Comprendre l’anxiété de performance chez les adolescents

L’anxiété de performance est une réaction anxieuse qui survient lorsqu’un adolescent anticipe une situation d’évaluation. Il redoute de décevoir, d’être jugé, de ne pas être à la hauteur. Cette anticipation active les circuits neurobiologiques du stress : le corps se prépare à affronter une menace, même lorsqu’il n’y en a pas objectivement.
Tension musculaire, accélération cardiaque, respiration rapide : ce sont des réactions normales, mais elles entravent la mémoire de travail, la capacité de concentration et l’accès aux connaissances. L’adolescent connaît ses leçons, mais n’arrive plus à les mobiliser. Cette perte de contrôle subjective nourrit à son tour l’anxiété de performance.

Cette anxiété n’est pas un manque de volonté. Elle découle d’un décalage entre l’enjeu perçu et les ressources que l’adolescent pense avoir pour y répondre. Certains jeunes à haut potentiel, très exigeants envers eux-mêmes, sont particulièrement concernés. D’autres, présentant un TDA/H ou des troubles d’apprentissage, vivent l’évaluation avec une charge cognitive supérieure à la moyenne, ce qui renforce la pression interne.

Comment reconnaître l’anxiété de performance : les signes qui doivent alerter

Des manifestations physiques et comportementales

Les premiers signes sont souvent somatiques : maux de ventre, nausées, tensions musculaires, tremblements, palpitations, sensation de boule dans la gorge. Certains adolescents deviennent irritable, d’autres se replient. Ces manifestations ne sont pas exagérées : elles traduisent un stress physiologique réel.

Apparition de troubles du sommeil

De nombreux adolescents anxieux de performance dorment mal : difficultés d’endormissement, réveils fréquents, cauchemars. Ce déficit de sommeil perturbe la régulation émotionnelle, la concentration et le maintien d’un rythme de travail soutenu.

Ruminations, doutes, anticipation du pire

L’adolescent se projette dans un scénario d’échec : il imagine perdre ses moyens, oublier tout ce qu’il a appris, ou être jugé. Ces pensées intrusives occupent son attention et l’empêchent de préparer sereinement l’échéance.

Chute de la concentration et de l’efficacité

Lorsque l’anxiété prend le dessus, l’adolescent apprend « dans le vide ». Il relit ses cours, mais ne retient pas. Il sait qu’il connaît la matière, sans pouvoir y accéder. Cette sensation d’incompétence temporaire renforce la peur d’échouer.

Procrastination et évitement

La procrastination est une stratégie d’apaisement à court terme : repousser la tâche permet de faire baisser l’anxiété… mais la renforce ensuite. Dans certains cas, l’évitement peut devenir massif : refus d’aller à l’école, désengagement total, crises au moment des évaluations.

Pourquoi votre adolescent développe-t-il une anxiété de performance ?

Il n’y a jamais une cause unique : l’anxiété de performance résulte généralement d’une interaction entre le tempérament de l’adolescent, son histoire scolaire, les attentes de son entourage et son rapport à l’erreur.

L’adolescent peut ressentir une pression explicite ou implicite

Lorsque la réussite scolaire est très valorisée, l’adolescent peut interpréter la moindre erreur comme un échec personnel. Ce phénomène est amplifié si les attentes sont perçues comme irréalistes, porteuses d’enjeux d’orientation, ou comme conditionnant la fierté parentale.

Ou faire l’objet de critiques, remarques répétées, comparaisons

Les comparaisons – entre frères et sœurs, cousins, camarades – alimentent une compétition permanente. Certains adolescents vivent alors chaque évaluation comme un verdict, non comme une étape.

A l’inverse, la surprotection peut entraîner une faible tolérance à l’échec

Les adolescents qui n’ont pas appris à traverser l’échec interprètent toute difficulté comme un danger. La surprotection – faire à la place, anticiper chaque difficulté, éviter la frustration – empêche la construction de compétences d’autonomie et de régulation.

L’adolescent peut également ressentir une pression sociale

À l’adolescence, le regard des pairs est central. Le moindre faux pas semble visible, amplifié, interprété. Cette exposition permanente augmente la vulnérabilité à l’anxiété de performance.

Facteurs personnels : troubles d’apprentissage, TDA/H, estime de soi fragile

Les adolescents présentant un TDA/H, des troubles DYS ou une faible estime de soi sont particulièrement concernés. Ils doivent souvent fournir un effort supérieur pour atteindre un résultat équivalent à leurs pairs. L’évaluation devient alors un révélateur de leurs limites perçues.

Événements de vie stressants

Harcèlement, séparation, déménagement, conflits familiaux : ces événements fragilisent l’équilibre psychique et augmentent la vulnérabilité à l’anxiété de performance.

Comment aider un adolescent qui souffre d’anxiété de performance ?

Travailler sur la mise en situation progressive

Pour certains adolescents, la répétition graduée d’une tâche dans un contexte sécurisé permet d’abaisser la menace perçue. Pour d’autres, un travail excessif est un marqueur d’anxiété : dans ce cas, il faut réduire la charge plutôt que la renforcer.

Introduire la visualisation positive

La visualisation n’est pas un exercice de pensée magique, mais une technique validée en préparation mentale. Imaginer une situation réussie améliore l’accès aux ressources cognitives et renforce le sentiment de contrôle.

Utiliser respiration lente et cohérence cardiaque

Pratiquées régulièrement, ces techniques réduisent la réponse physiologique au stress et améliorent la stabilité émotionnelle. Elles sont particulièrement utiles avant les contrôles ou les épreuves sportives.

Encourager une activité physique régulière, mais non compétitive

L’exercice modéré stabilise l’humeur et abaisse l’activation physiologique. À l’inverse, une pratique sportive centrée sur la performance peut entretenir l’anxiété.

Ajuster le discours familial

Il est essentiel de rappeler que l’erreur est une étape, non un jugement. L’adolescent doit entendre que la perfection n’est ni attendue ni souhaitable, et que sa valeur ne dépend jamais d’une note.

Surveiller les facteurs aggravants : caféine, boissons énergisantes, cannabis

La caféine augmente l’activation physiologique. Le cannabis altère la mémoire de travail, la vitesse de traitement et augmente la vulnérabilité à l’anxiété. Chez les adolescents anxieux de performance, ces substances aggravent les difficultés.

Valoriser les points forts et varier les sujets de conversation

Si les discussions familiales tournent uniquement autour des résultats, l’anxiété augmente. S’intéresser aux centres d’intérêt, aux réussites non scolaires et à la vie sociale permet de rééquilibrer le cadre.

Savoir quand consulter

Lorsque l’anxiété de performance entraîne une souffrance importante, un évitement scolaire ou des symptômes somatiques persistants, une consultation est nécessaire. Un psychologue peut aider l’adolescent à comprendre ses mécanismes internes et à développer des stratégies d’adaptation solides.

Conclusion

L’anxiété de performance n’est pas un caprice, ni une fragilité psychologique. C’est un phénomène fréquent, documenté, et qui reflète la façon dont l’adolescent se perçoit dans les situations d’évaluation. En comprenant ses mécanismes et en ajustant le cadre familial, vous pouvez aider votre enfant à retrouver un rapport plus apaisé aux apprentissages, à la réussite et à lui-même.

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