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Évaluation des risques de difficulté en seconde – Test en ligne

Évaluation des risques de difficulté en seconde – Test en ligne

Évaluation des risques de difficulté scolaire en seconde

L’entrée en seconde est un cap important. Organisation plus exigeante, rythme de travail soutenu, nouvelles matières… Tous les élèves ne vivent pas cette transition de la même façon. Ce questionnaire d’évaluation vous permet, en quelques minutes, d’identifier les risques de difficultés scolaires de votre enfant et d’obtenir une analyse claire pour mieux l’accompagner.

Pourquoi évaluer les risques dès la rentrée au lycée ?

Les études montrent que les premières semaines au lycée sont déterminantes pour la réussite scolaire. Les élèves qui présentent un déficit d’organisation, de motivation ou de méthodologie peuvent rapidement se retrouver en difficulté. Ce diagnostic d’entrée en seconde vous aide à repérer ces signaux avant qu’ils ne deviennent un problème majeur.

Comment fonctionne notre questionnaire ?

Notre outil en ligne analyse plusieurs domaines :

  • Autonomie et organisation

  • Environnement familial

  • Motivation et projection dans l’avenir

  • Posture d’apprentissage

  • Régulation émotionnelle

  • Résultats et compétences scolaires

Pour chaque question, vous sélectionnez la réponse qui correspond le mieux au comportement habituel de votre enfant : jamais, rarement, parfois, souvent ou toujours. Le système calcule un score par domaine, puis fournit une analyse personnalisée.

Ce que vous recevez après l’évaluation

Un profil clair et structuré

  • Un score global et un score par domaine

  • Un commentaire explicatif pour comprendre les résultats

  • Des pistes d’action adaptées au profil de votre enfant

Un premier pas vers la réussite

Cette évaluation n’est pas un verdict, mais un outil de prévention. Elle vous donne les clés pour agir rapidement, que ce soit par un ajustement à la maison, un soutien méthodologique ou un accompagnement spécialisé.

Remplissez le questionnaire maintenant

Il vous suffit de cliquer ci-dessous pour démarrer.

Temps nécessaire : moins de 5 minutes.

Résultats : immédiats et gratuits.

→ Faire l’évaluation des risques de difficulté en seconde

FAQ sur l’évaluation des risques en seconde

À qui s’adresse ce test ?

Aux parents d’élèves qui entrent en seconde, mais aussi aux enseignants et conseillers d’orientation.

Est-il fiable ?

Il ne remplace pas un diagnostic scolaire complet, mais il repose sur des indicateurs pédagogiques reconnus et sur notre expérience de l’accompagnement scolaire.

Est-il payant ?

Non, ce test est gratuit et sans engagement.

Questionnaire – préparation à l’entrée en 2de

Pour chaque affirmation, choisis la réponse la plus proche de votre réalité : Jamais, Rarement, Parfois, Souvent, Toujours.

Résultats et compétences scolaires

Autonomie et organisation

Posture d’apprentissage

Régulation émotionnelle

Motivation et projection

Environnement familial

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Bilan de compétences HPI

Bilan de compétences HPI

Bilan de compétences pour HPI : un accompagnement adapté à votre singularité

Vous avez l’impression d’être « trop » — trop intense, trop rapide, trop exigeant — ou simplement « pas comme les autres » dans le monde professionnel ? Vous êtes peut-être concerné·e par le haut potentiel intellectuel (HPI), que vous ayez été identifié·e formellement ou non. Dans tous les cas, votre besoin d’alignement, de sens et d’authenticité mérite d’être pris en compte dans un bilan de compétences.

Or, les démarches classiques peuvent vite s’avérer inadaptées à votre profil. C’est pourquoi un bilan de compétences pour HPI, mené par un·e professionnel·le formé·e à ces spécificités, peut transformer votre rapport au travail — et à vous-même.

Haut potentiel : bien plus qu’une « intelligence au-dessus de la moyenne »

Le HPI ne se résume ni à un test de QI élevé, ni à une performance hors norme. Il s’accompagne souvent d’une grande lucidité, d’une intuition fine, d’un besoin de cohérence, d’une hypersensibilité émotionnelle ou relationnelle, et parfois d’un sentiment de décalage.

Ces traits influencent en profondeur le parcours professionnel. Nombre de personnes HPI témoignent :

  • d’une difficulté à rester motivé·e dans des environnements peu stimulants ou trop rigides,

  • d’un parcours non linéaire, fait d’expérimentations, de ruptures, de reconversions,

  • d’un malaise dans les codes de l’entreprise, ou de difficultés à supporter les jeux de pouvoir,

  • d’un questionnement professionnel récurrent, parfois vécu comme de l’instabilité ou de l’autosabotage.

Ces dynamiques sont rarement comprises — voire reconnues — dans un cadre de bilan de compétences standardisé.

Le bilan de compétences pour HPI : une autre posture, une autre écoute

Chez Eklosia, nous accueillons tous les profils, sans distinction. Mais nous avons conçu notre approche pour qu’elle soit particulièrement adaptée aux personnes qui fonctionnent « hors des cases », en particulier les adultes HPI.

Cela suppose une posture d’accompagnement fondée sur :

  • une qualité d’écoute accrue, qui respecte les zones de flou, les doutes, les besoins d’exploration,

  • une lecture nuancée des parcours professionnels, même quand ils semblent chaotiques,

  • une compréhension du besoin de sens, au-delà des logiques d’employabilité ou de rentabilité,

  • un cadre structurant, mais suffisamment souple pour ne pas enfermer.

Le but n’est pas de « recadrer » un profil atypique, mais au contraire d’accompagner une clarification identitaire et professionnelle, en lien avec les aspirations profondes.

Vous êtes concerné·e si…

  • Vous êtes identifié·e HPI, récemment ou depuis longtemps, et vous cherchez à redéfinir votre orientation professionnelle en cohérence avec votre fonctionnement.

  • Vous vous interrogez sur votre profil, sans avoir posé de mot, mais vous vous reconnaissez dans les descriptions du haut potentiel.

  • Vous avez le sentiment que vos précédents bilans ou accompagnements professionnels n’ont pas pris en compte votre complexité ou votre quête de sens.

  • Vous ressentez une forme d’urgence existentielle à trouver un projet aligné, qui vous respecte et vous stimule à la fois.

Dans tous ces cas, un bilan de compétences sensible au HPI peut vous offrir un espace sécurisé, exigeant, et profondément transformateur.

Un accompagnement centré sur la personne, pas sur l’étiquette

Vous n’avez pas besoin d’un « bilan HPI » avec des outils spécifiques ou un protocole différent. Ce dont vous avez besoin, c’est d’un cadre intelligent, exigeant et bienveillant, dans lequel vous pouvez explorer ce qui vous anime, sans être jugé·e ni réduit·e à un profil.

Un professionnel qui connaît de l’intérieur les logiques du haut potentiel, et qui sait accompagner ces cheminements, peut faire une différence décisive.

Envie de remettre votre singularité au cœur de votre vie professionnelle ?

Chez Eklosia, nous proposons un accompagnement respectueux de votre rythme et de votre complexité, que vous soyez HPI identifié·e, en questionnement, ou simplement en quête de cohérence.

Un entretien gratuit vous permet de vérifier si notre approche vous correspond.

 

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TDAH et orientation scolaire : le guide stratégique pour accompagner votre adolescent vers la voie qui lui ressemble

TDAH et orientation scolaire : le guide stratégique pour accompagner votre adolescent vers la voie qui lui ressemble

TDAH orientation scolaire : accompagner votre adolescent vers la filière qui lui ressemble

Il est 22 h 30. Le portail Parcoursup clignote sur l’écran tandis que votre fils passe d’une vidéo à l’autre, persuadé qu’il « travaillera mieux plus tard ». Votre fille, elle, relit pour la troisième fois ses notes réécrites au propre, inquiète de ne « rien retenir » demain.

Le diagnostic est tombé : TDAH pour l’un, profil inattentif pour l’autre. Vous redoutez qu’un trouble neurodéveloppemental compromette leur avenir.
Bonne nouvelle : TDAH et orientation scolaire ne s’excluent pas ; ils exigent simplement des réglages précis. Voici le guide pour transformer cette différence en tremplin plutôt qu’en obstacle.

Comprendre comment le TDAH influence l’orientation scolaire

Le TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité) n’est pas un simple manque de concentration. C’est un fonctionnement cérébral particulier : la dopamine, neurotransmetteur de la motivation, circule autrement. Résultat :

  • Chez les profils combinés : l’énergie déborde, la parole fuse, la motivation s’envole si la tâche manque de piquant.
  • Chez les profils inattentifs : l’esprit papillonne, le démarrage est lent, mais la profondeur d’analyse est remarquable lorsque le sujet captive vraiment.

Au lycée, ces différences restent gérables grâce au rythme imposé par les professeurs. Après le bac, le curseur se déplace brutalement : l’étudiant devient maître de son temps.

Sans garde-fous, la procrastination ou l’épuisement guettent. L’enjeu n’est donc pas de « choisir une filière facile », mais de concilier niveau de stimulation, degré de structure et passion authentique – le triangle d’or de la réussite pour un élève TDAH.

Quatre leviers pour choisir la bonne filière

1. Ajuster le ratio structure / liberté

Un cursus trop encadré (partiels massifs, emploi du temps inflexible) risque d’étouffer l’élan créatif d’un jeune adulte hyperactif. À l’inverse, un programme entièrement en autonomie peut désorienter un profil inattentif. IUT, BTS ou licences à projet tutoré offrent souvent l’équilibre idéal : contrôle continu, stages, et encadrement régulier.

Astuce portes ouvertes

Demandez le ratio cours magistraux / travaux dirigés, la fréquence des rendus, et l’existence d’un tutorat. Ces trois critères prédisent le niveau de structure réel, au-delà des brochures.

2. Fractionner l’évaluation pour préserver l’attention

Les partiels denses « en bloc » taxent lourdement la vigilance. Les études paramédicales, les écoles à pédagogie par projets (type École 42) ou les universités anglo-saxonnes – où le contrôle continu compte pour 40 à 60 % – conviennent mieux. Tiers-temps, examens oraux ou dossiers permettent également de lisser l’effort.

3. Miser sur la motivation intrinsèque

Le cerveau TDAH s’embrase pour ce qui le passionne ; il décroche pour le reste. Un bilan d’orientation spécial TDA/H ou de courts stages d’observation éclairent ce qui déclenche la « poussée de dopamine » : animation 3D, soins infirmiers, cybersécurité, traduction… Ce moteur interne compense bien des fragilités.

4. Activer les droits handicap dès la Terminale

Depuis la loi 2005, chaque établissement supérieur possède une Mission Handicap. Tiers-temps, prise de notes externalisée, logiciels comme Antidote ou OneNote Dictée : tout doit pouvoir se mettre en place avant la première session d’examens. Osez contacter le référent et demandez un rendez-vous conjoint parent-étudiant pour clarifier les documents requis (bilan neuropsychologique < 5 ans, certificat médical).

Relier les talents naturels à la filière

Plutôt que de se concentrer sur « ce qui manque », observez ce qui jaillit spontanément chez votre adolescent :

Talent spontané Environnement riche en stimulation (souvent apprécié par un garçon TDAH) Environnement favorisant la concentration profonde (souvent choisi par une fille TDA-I)
Résolution rapide de problèmes Urgences sanitaires, logistique humanitaire, cybersécurité défensive UX design, data-visualisation, traduction technique
Leadership d’équipe Management hôtelier, événementiel, entrepreneuriat sportif Médiation culturelle, ressources humaines, documentation spécialisée
Créativité visuelle Game design, publicité, production audiovisuelle Illustration scientifique, architecture intérieure

Paul, 18 ans, TDAH combiné, aspirait d’abord à une licence classique d’économie mais redoutait les amphis de 400 étudiants. Après un stage express dans une agence événementielle, il a intégré un BTS Communication : briefs clients serrés, multiples projets, deadlines courtes. Son énergie est enfin un atout, pas un problème de discipline.

Installer une autogestion robuste dès la rentrée

  • Outils numériques intelligents

    Agenda partagé (Google Calendar + rappels audio), application pomodoro visuelle (26/5 min), filtre anti-distraction (LeechBlock, Cold Turkey).

  • Méthodes d’étude scientifiques
    • Prise de notes Cornell en deux colonnes : compréhension immédiate + questions synthèse.
    • Flashcards espacées dans Anki : rappel actif, espacement croissant, prouvé en psychologie cognitive.
  • Routine d’activation physiologique

    20 minutes d’activité physique d’intensité modérée avant un cours magistral boostent l’attention (études Barkley 2018). Pour un profil inattentif, une mind-map préparatoire active la pré-visualisation mentale.

  • Coaching TDAH structuré

    15 séances hebdomadaires améliorent la moyenne de +0,5 point (Prevatt & Young 2020). Objectifs : anti-procrastination, segmentation des tâches, gestion du stress d’examen.

Anticiper la vie professionnelle : penser long terme

L’orientation scolaire prépare déjà l’insertion. Trois points méritent d’être balisés dès la première année :

  1. Portfolio concret : travaux réels, prototypes, vidéos. Les recruteurs apprécient les preuves tangibles, surtout quand le parcours académique montre des fluctuations.
  2. Mentorat interne : dans les alternances ou les stages, négociez un tuteur référent. Le canal direct réduit les quiproquos liés à l’impulsivité verbale ou à la lenteur de démarrage.
  3. Job crafting : apprendre à redessiner 20 % des missions autour des forces naturelles (analyse, créativité, relationnel) limite le risque de bore-out (profil combiné) ou de surcharge silencieuse (profil inattentif).

Votre rôle de parent : passer de pilote à copilote

Vous avez longtemps organisé cartables et suivis médicaux ; l’enjeu devient d’apprendre à lâcher le volant sans disparaître. Voici trois attitudes clés :

  • Valoriser la passion authentique plutôt que la « voie royale ». Les études montrent que la persévérance dépend davantage de l’intérêt que du prestige.
  • Former à l’autodéfense de droits : votre adolescent doit savoir expliquer son trouble en deux minutes et citer les articles L.122-5 et R.412-6 du Code du Travail lors d’un entretien.
  • Fixer un « bilan mensuel » : un temps ritualisé pour faire le point sur la charge de travail, le sommeil, l’alimentation (petit-déjeuner protéiné = dopamine stable), puis ajuster. Vous restez ressource, jamais sauveteur.

Ressources fiables pour aller plus loin

  • Guides institutionnels : INSHEA « Étudiants en situation de handicap », ONISEP « Après le bac avec un trouble cognitif ».
  • Outils numériques : Pass Facilotab, Grammalecte, OneNote Dictée.
  • Associations spécialisées : TDAH France, HyperSupers, FFdys (utile pour la procédure de compensation).
  • Formations en ligne : Learning How to Learn (Coursera), Productivity for ADHD (Udemy), modules méthodo CNED.

Conclusion : orienter, c’est calibrer

Le TDAH n’est pas un mur, c’est une loupe : il agrandit autant les points forts que les fragilités. En ajustant le niveau de stimulation, le degré de structure et l’alignement avec les centres d’intérêt, vous changez un risque de décrochage en moteur d’excellence. La clé ? Un accompagnement précoce, des outils prouvés et la conviction que chaque profil possède sa trajectoire d’épanouissement.

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Une question ? Nous vous répondons sous 48 h et nous vous proposons un premier entretien gratuit pour poser la première pierre du projet d’orientation de votre adolescent.

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Comment organiser ses révisions

Réviser en vue d’un examen que l’on soit adulte ou adolescent est une tâche complexe. Une étape essentielle souvent négligée.

Comprendre le TDA/H

Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité : TDA/H est à la fois très commun et mal connu.
Les personnes qui en sont affectées (enfants mais aussi adultes) n’en ont pas toujours conscience. Pourtant ce trouble affecte considérablement leur vie sociale, familiale, leur scolarité et plus tard leur vie professionnelle.

Baccalauréat général : cinq raisons de le choisir

Le baccalauréat général est la voie la plus connue pour accéder à l’enseignement supérieur. Choisir cette voie doit être fait en connaissance de cause.

Comment optimiser le temps des devoirs?

Comment faire du moment des devoirs un temps efficace ? Travailler de manière à mémoriser durablement ? Un petit guide à lire ou a faire lire à son ado.

Qu’est-ce que la courbe de l’oubli ? Aidez votre enfant à mieux retenir ses devoirs

Qu’est-ce que la courbe de l’oubli ? Aidez votre enfant à mieux retenir ses devoirs

Qu’est-ce que la courbe de l’oubli ? Comprendre pour mieux soutenir son enfant dans ses devoirs

« Ma fille révise, relit, s’entraîne… mais oublie tout au bout de quelques jours ! »

Si vous entendez cette phrase à la maison, vous n’êtes pas seule. Ce constat est en réalité lié à un phénomène universel que l’on nomme courbe de l’oubli. Mais qu’est-ce que la courbe de l’oubli, exactement ? Et pourquoi est-il essentiel, en tant que parent, de la comprendre pour mieux accompagner votre enfant dans ses devoirs ?

Comprendre ce mécanisme de la mémoire permet d’éviter les longues heures de bachotage inefficace. Cela ouvre la voie à des révisions plus légères mais bien plus durables.

Qu’est-ce que la courbe de l’oubli selon Ebbinghaus ?

Le concept de courbe de l’oubli a été formulé par le psychologue allemand Hermann Ebbinghaus dans son ouvrage Sur la mémoire (1885). En menant des expériences sur lui-même, il a démontré que :

  • Sans rappel actif, on perd rapidement la majorité d’un apprentissage : jusqu’à 70 % dans les 24 heures.

  • Plus une information reste inutilisée, plus elle devient difficile à rappeler, même si elle ne disparaît pas complètement.

Autrement dit, la mémoire humaine oublie vite… à moins qu’on ne l’aide à retenir. Voilà précisément le défi que rencontrent de nombreux enfants : ils croient maîtriser leur leçon, mais l’absence de consolidation les conduit à l’oubli.

Comment prendre en compte la courbe de l’oubli à la maison ?

1. Planifiez des rappels réguliers

La répétition espacée est la première stratégie recommandée. Elle consiste à revoir l’information à des intervalles croissants : le soir même, le lendemain, trois jours plus tard, puis une semaine plus tard. Cette méthode renforce la trace mnésique au bon moment, c’est-à-dire juste avant que l’oubli ne s’installe.

Voici une mise en œuvre concrète :

  • 🕔 Jour 0 : lecture rapide de la leçon

  • 🕕 Jour 1 : 5 minutes de questions-réponses

  • 🕖 Jour 3 : mini-fiche ou carte mentale

  • 🕗 Jour 7 : petit test oral

Ainsi, les révisions deviennent plus stratégiques et moins chronophages, tout en étant beaucoup plus efficaces contre la courbe de l’oubli.

2. Utilisez les flashcards intelligemment

Les flashcards (cartes question/réponse) constituent un excellent outil pour activer la mémoire. Encouragez votre enfant à les concevoir lui-même avec des codes couleur, des mots-clés ou des dessins.

Vous pouvez ensuite tester ses connaissances en vous inspirant du système de Leitner : les cartes connues sont revues moins souvent, les autres plus fréquemment. De cette façon, le temps est optimisé et ciblé là où c’est nécessaire.

3. Rendez les révisions dynamiques et variées

Un apprentissage passif – comme lire et relire en silence – a peu d’impact sur la mémoire. À l’inverse, une révision active engage le cerveau dans un effort de récupération, ce qui favorise l’ancrage.

Voici quelques exemples d’approches efficaces :

  • Reformuler à voix haute, avec ses mots

  • Expliquer la leçon à un parent, un camarade ou même à une peluche

  • Créer des cartes mentales ou schémas visuels

  • Jouer à un quiz ou créer un jeu de questions-réponses

Qu’est-ce que la courbe de l’oubli change dans votre rôle de parent ?

Savoir qu’est-ce que la courbe de l’oubli transforme votre posture. Il ne s’agit plus de faire « plus », mais de faire mieux, en structurant les apprentissages autour du fonctionnement naturel de la mémoire.

Prenons l’exemple de Léa, 13 ans. Malgré ses efforts, elle oubliait régulièrement des informations clés en histoire. Sa mère a mis en place un système de rappels visuels avec un calendrier simple sur le frigo : lecture le jour même, reformulation le lendemain, petit quiz le week-end. Résultat ? Moins de stress, une note plus élevée et surtout, une adolescente fière d’elle.

Pour aller plus loin

Vous souhaitez découvrir des outils concrets, des exemples de fiches ou des conseils pratiques basés sur les sciences cognitives ?

👉 Ne manquez pas cet article complémentaire :

Faire des flashcards

Comment apprendre ses leçons sans les oublier


Besoin d’un accompagnement plus structuré pour votre enfant ?

Comprendre la courbe de l’oubli est un bon début. Cependant, il arrive que cela ne suffise pas. Certains enfants ont besoin d’un cadre, de méthodes adaptées ou d’un regard extérieur pour retrouver confiance et autonomie.

👉 Pour l’aider à gagner en efficacité, explorez nos accompagnements personnalisés :

  • Coaching scolaire individuel “6 heures pour réussir” : un accompagnement individualisé pour adopter les bonnes méthodes de travail.

    👉 Découvrir le programme

  • Coaching scolaire collectif “12 semaines pour booster ses compétences” : une dynamique de groupe motivante, encadrée et structurée.

    👉 Découvrir le programme

Ces programmes s’appuient sur les apports de la psychologie cognitive et les pratiques pédagogiques les plus efficaces.


Source : Youki Terada, Helping Students Overcome the Forgetting Curve, publié sur Edutopia.org. Lire l’article original

Besoin d’un accompagnement plus structuré pour votre enfant ?

Comprendre la courbe de l’oubli est un bon début. Mais parfois, malgré votre implication, votre enfant reste désorganisé, démotivé ou peine à s’y retrouver dans ses méthodes de travail.

👉 Pour l’aider à gagner en efficacité et en confiance, découvrez nos accompagnements personnalisés :

  • Coaching scolaire individuel “6 heures pour réussir” : un parcours sur-mesure pour adopter de nouvelles méthodes de travail et apprendre à apprendre.

    👉 Découvrir le programme

  • Coaching scolaire collectif “12 semaines pour booster ses compétences” : en petit groupe, pour progresser ensemble vers plus d’autonomie.

    👉 Voir les prochaines sessions

Ces accompagnements intègrent des stratégies efficaces issues des sciences cognitives, dont la gestion active de la mémoire à long terme.

Vous ne serez plus seul(e) à porter les devoirs au quotidien — et votre enfant retrouvera le plaisir d’apprendre.

Vous avez une question ? Vous voulez en savoir + ?

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Les HPI sont-ils en échec scolaire ?

Les HPI sont-ils en échec scolaire ?

Les HPI sont-ils en échec scolaire ? Ce que dit la recherche

Votre enfant est HPI et pourtant, ses bulletins sont en demi-teinte. Vous vous demandez s’il est “sous-performant”, voire en décrochage. La question se pose : les HPI sont-ils en échec scolaire ?

La réponse courte est non : la majorité des élèves à haut potentiel réussissent bien à l’école. Mais il existe des situations plus complexes, où l’intelligence ne suffit pas à compenser un manque de méthode ou un besoin pédagogique non comblé. On fait le point.

Un mythe entretenu par des représentations dépassées

Pendant des années, la figure de l’élève HPI en souffrance scolaire a été popularisée par des ouvrages et des formations aux accents très médiatiques. On a parlé de “zèbres”, de “pensée en arborescence”, d’“hypersensibilité systématique” et d’un taux d’échec massif supposé chez les jeunes HPI. Ces affirmations ont rencontré un écho important auprès de nombreuses familles.

Mais que disent les faits ?

Les données scientifiques contredisent l’idée d’un échec massif

De larges études menées sur des cohortes d’élèves montrent qu’un QI supérieur à 130 est, en général, un facteur de réussite scolaire. Selon les données du Panel DEPP 2007 et d’études récentes comme celles de Ramus & Gauvrit (2023), moins de 2 % des élèves HPI présentent un réel échec scolaire.

De plus, les jeunes HPI ne présentent pas plus de troubles anxieux ou dépressifs que les autres, et semblent même un peu plus protégés des troubles des apprentissages (dyslexie, dyspraxie…) que la population générale.

Autrement dit : le haut potentiel n’est pas un facteur de fragilité en soi.

Alors pourquoi certains HPI sont-ils en difficulté ?

Les chercheurs s’accordent toutefois sur deux éléments importants :

1. Une co-occurrence possible avec des troubles spécifiques

Certains jeunes cumulent un haut QI avec un trouble des apprentissages ou un TDAH, ce qui peut expliquer leurs difficultés. Dans ces cas-là, ce n’est pas le haut potentiel qui est en cause, mais le trouble associé – souvent mal repéré chez ces profils dits “à double exceptionnalité”.

2. Un système scolaire qui s’adapte encore mal

L’école française peine parfois à proposer des ajustements pédagogiques adaptés : enrichissement du programme, accélération, tutorat… Ces aménagements, pourtant bien documentés dans la littérature internationale, sont appliqués de façon inégale. Résultat : des élèves qui s’ennuient, se démotivent ou “freinent” pour s’adapter au rythme général de la classe.

Ce que l’on oublie souvent : le rôle de la méthodologie

Au-delà des troubles et des questions pédagogiques, un facteur essentiel est trop souvent négligé : la maîtrise des méthodes de travail.

Beaucoup de jeunes HPI ont été en réussite sans effort particulier à l’école primaire. Mais au collège, puis au lycée, les exigences changent : il ne suffit plus de comprendre vite, il faut savoir apprendre, s’organiser, structurer ses réponses. Or, certains HPI, habitués à la facilité, peinent à développer ces compétences clés. Ils peuvent alors développer un état d’esprit fixe : ils évitent les efforts par peur de l’échec, doutent d’eux-mêmes dès que la réussite n’est pas immédiate, et se sentent démunis face à la complexité.

Cela ne relève ni d’un trouble, ni d’un manque d’intelligence, mais bien d’un besoin d’accompagnement méthodologique ciblé.

En conclusion : non, les HPI ne sont pas voués à l’échec… mais ils peuvent avoir besoin d’aide

Le haut potentiel n’est pas un handicap. Ce n’est pas non plus une garantie de réussite automatique. Certains élèves brillants peuvent se retrouver en difficulté si leurs besoins spécifiques ne sont pas identifiés ou si leurs compétences méthodologiques ne sont pas construites.

Plutôt que de pathologiser à tort, il est plus utile de :

  • vérifier s’il existe un trouble associé,

  • clarifier les attentes de l’école,

  • proposer un accompagnement centré sur l’apprentissage efficace.

Votre enfant est HPI et semble démotivé ou désorganisé dans son travail scolaire ?

Un coaching structuré et bienveillant peut lui permettre d’acquérir les méthodes de travail qui lui manquent. C’est souvent le levier qui fait toute la différence.

👉 Découvrez notre accompagnement personnalisé :

Coaching scolaire “6 heures pour réussir”

Coaching scolaire à Bayonne – 6 heures pour réussir

Ou en petit groupe, pour une dynamique stimulante :

Coaching collectif “12 semaines pour booster ses compétences”

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