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HPI et état d’esprit fixe : le piège invisible de la facilité

HPI et état d’esprit fixe : le piège invisible de la facilité

HPI et état d’esprit fixe : le piège invisible de la facilité

Vous avez peut-être un enfant à haut potentiel, à qui tout a toujours semblé facile. Dès l’école primaire, il lisait avant les autres, résolvait les problèmes de tête en un clin d’œil, comprenait les règles du jeu sans qu’on les lui explique. On lui disait souvent : « Tu es très intelligent ! »

Et pourtant, aujourd’hui, vous le sentez bloqué. Il refuse de se lancer quand c’est un peu difficile. Il abandonne vite. Parfois même, il préfère ne pas essayer plutôt que de prendre le risque de se tromper.

Ce comportement a un nom : l’état d’esprit fixe. Et il touche de nombreux jeunes HPI.

Ce qu’on appelle plus exactement « HPI état d’esprit fixe » décrit cette association fréquente entre haut potentiel et difficulté à accepter l’effort ou l’erreur.

Comprendre l’état d’esprit fixe

La psychologue américaine Carol Dweck a mis en lumière deux grandes façons de se représenter l’intelligence :

  • L’état d’esprit fixe : on pense que l’intelligence est innée, stable, qu’on l’a ou qu’on ne l’a pas.
  • L’état d’esprit de croissance : on pense que l’on peut développer ses compétences à force d’effort, de persévérance et de bonnes stratégies.

Lorsqu’un enfant grandit avec des réussites faciles et des compliments centrés sur son intelligence (« Tu es très doué ! »), il peut finir par croire que sa valeur dépend de cette facilité. Le jour où il rencontre un véritable obstacle, il se sent menacé. Faire un effort devient un aveu de faiblesse. Mieux vaut abandonner que risquer de prouver qu’on n’est pas si intelligent que ça.

Pourquoi les jeunes HPI développent un état d’esprit fixe ?

Leur trajectoire scolaire est souvent linéaire jusqu’au collège. Pas ou peu de difficultés, des succès obtenus sans vraie méthode de travail. Cela peut entretenir un mythe : celui de l’intelligence « pure », qui ne doit jamais rencontrer de résistance.

Chez les jeunes HPI, on observe alors :

  • Une grande peur de l’échec,
  • Une tendance à l’abandon rapide,
  • Des stratégies d’évitement (procrastination, refus de s’investir),
  • Une méfiance face à l’effort, parfois vécue comme une défaite personnelle.

Cela ne vient pas d’un manque de volonté. C’est une construction progressive, nourrie par l’expérience et les messages reçus (même bienveillants).

Comment repérer un état d’esprit fixe chez votre enfant ?

Voici quelques signaux qui peuvent vous alerter si vous suspectez un profil HPI à état d’esprit fixe :

  • Il fuit les activités où il n’est pas sûr de briller.
  • Il réagit mal à la moindre erreur.
  • Il préfère réussir sans effort que progresser avec persévérance.
  • Il se dévalorise rapidement : « Je suis nul », « J’y arriverai jamais ».

Il peut aussi montrer une forme d’orgueil fragile : se penser très bon, mais ne pas supporter d’être mis en difficulté.

Comment l’aider à adopter un état d’esprit de croissance ?

Bonne nouvelle : l’état d’esprit n’est pas figé. Il peut évoluer avec des expériences bien accompagnées.

Valorisez l’effort, pas le résultat

Plutôt que : « Bravo, tu es très fort ! », essayez :

« Tu as persévéré malgré la difficulté, c’est ce qui t’a fait progresser. »

Normalisez l’erreur

Rappelez-lui que l’erreur est une étape normale de l’apprentissage. Que les grands chercheurs, artistes, sportifs se sont tous trompés avant de réussir.

Créez des occasions de défi choisi

Lancez-lui des défis stimulants, à sa portée mais nécessitant un effort. Mieux vaut une activité exigeante où il progresse qu’une routine brillante sans résistance.

Parlez-lui du cerveau qui se muscle

Expliquez-lui que le cerveau fonctionne comme un muscle : plus on l’entraîne, plus il se renforce. Montrer des images d’IRM ou des schémas peut avoir un vrai impact.

Et si mon enfant refuse toute forme d’aide ?

Il arrive que les jeunes HPI à état d’esprit fixe se protègent derrière une carapace : ils refusent les conseils, minimisent leurs difficultés ou ironisent sur leur situation. Ce n’est pas de la mauvaise volonté. C’est souvent une manière de ne pas perdre la face.

Dans ce cas, un accompagnement extérieur, neutre et bienveillant, peut faire une vraie différence. En coaching scolaire, nous travaillons justement sur ces blocages : restaurer la confiance, revaloriser l’effort, redonner du sens aux apprentissages.

Ce qu’il faut retenir sur HPI et état d’esprit fixe

  • Les jeunes HPI sont particulièrement exposés au risque d’état d’esprit fixe.
  • Ce n’est pas une fatalité : avec les bons messages et les bons accompagnements, leur relation à l’effort peut évoluer durablement.
  • En tant que parent, vous avez un rôle clé pour aider votre enfant à construire une image positive de lui-même dans la durée.

Mise à jour du 19/06/2025

Il arrive aussi que chez les jeunes HPI, des troubles spécifiques des apprentissages (dyslexie, dysorthographie, dyspraxie…) ou un trouble de l’attention (TDA/H) passent inaperçus, masqués par leurs capacités intellectuelles élevées qui permettent de compenser les difficultés  . En conséquence, une réticence à se mettre au travail, que l’on pourrait interpréter à tort comme de la paresse ou de l’ennui ou la manifestation d’un état d’esprit fixe, peut en réalité être liée à ces troubles sous-jacents. Dans ces situations, faire appel à un(e) psychologue ou neuropsychologue spécialisé(e) – capable de distinguer HPI, troubles associés et double exceptionnalité – peut s’avérer déterminant pour poser un diagnostic précis et proposer un accompagnement adapté .

Envie d’en savoir plus ? Je propose des accompagnements personnalisés pour aider les adolescents HPI à mieux se connaître, retrouver du plaisir à apprendre et se libérer des croyances qui les freinent. N’hésitez pas à me contacter pour un premier échange.

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Chaque adolescent HPI est unique. Pour certains, c’est l’organisation du travail qui pose problème ; pour d’autres, c’est le choix d’une orientation alignée avec leurs appétences profondes.

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Comment aider un adolescent HPI : école et orientation

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Comment aider un adolescent HPI : pistes concrètes pour la scolarité et l’orientation

Comment aider un adolescent HPI à réussir sa scolarité ?

On les appelle parfois « précoces », « atypiques », ou encore « zèbres ». Mais derrière les étiquettes plus ou moins poétiques, il y a surtout des adolescents à haut potentiel intellectuel (HPI), dont le parcours scolaire peut être aussi fulgurant qu’irrégulier. Car non, être HPI ne garantit ni la réussite, ni la facilité, ni la motivation.

Alors comment aider un adolescent HPI à s’épanouir à l’école, à construire son orientation sans s’épuiser ni s’ennuyer ? À rebours des idées reçues, l’enjeu n’est pas de le pousser plus loin ou plus vite, mais de mieux comprendre son fonctionnement pour l’accompagner, de manière fine et adaptée.

Comprendre le profil HPI pour mieux l’aider à l’école

Dans la sphère scolaire, le profil HPI est généralement associé à un raisonnement rapide, une curiosité marquée, une pensée en arborescence, et une capacité à établir des liens complexes entre des notions éloignées. Mais ces qualités, souvent précoces, peuvent aussi masquer des fragilités.

Le besoin de sens, par exemple, est particulièrement fort. Lorsque les consignes semblent mécaniques ou que les activités n’offrent pas de défi intellectuel, la démotivation s’installe. L’élève ne se rebelle pas toujours, il peut simplement se retirer, faire le minimum, s’ennuyer — et parfois échouer, paradoxalement.

Autre trait fréquent : un perfectionnisme élevé, qui pousse à la procrastination. Mieux vaut ne rien faire que de mal faire. Enfin, nombre d’adolescents HPI peinent à structurer leur pensée dans un cadre scolaire contraint : leur richesse cognitive n’entre pas facilement dans des cases.

Ce qu’il faut éviter pour bien accompagner un adolescent HPI

L’erreur la plus fréquente consiste à croire qu’un adolescent HPI « n’a besoin de rien ». En réalité, il a surtout besoin de repères pédagogiques solides, de défis à sa mesure et de méthodes d’apprentissage adaptées.

Autre écueil : se reposer sur des mythes bien ancrés. Non, un HPI ne « préfère » pas forcément apprendre en mode visuel ou auditif. Les recherches récentes en sciences cognitives ont largement invalidé l’idée des styles d’apprentissage comme levier pédagogique. De même, les fameuses théories du cerveau droit et du cerveau gauche n’ont plus aucune assise scientifique.

Ce qui fonctionne, en revanche, ce sont des approches qui favorisent l’activation de la mémoire à long terme, l’autonomie cognitive, et la progressivité des apprentissages. Le tout dans un cadre suffisamment stimulant pour éviter le désengagement.

Quelles méthodes pour aider un adolescent HPI à apprendre ?

L’espacement : apprendre moins, mais mieux

Plutôt que de relire frénétiquement ses fiches la veille d’un devoir, espacer les révisions dans le temps améliore la mémorisation. Ce principe, appelé « spaced repetition », repose sur un constat simple : le cerveau retient mieux ce qu’il a oublié… puis réactivé.

Par exemple : réviser un chapitre en trois temps — J0, J+2, J+7 — permet une consolidation beaucoup plus efficace que trois heures consécutives le même jour.

La récupération active : se tester plutôt que relire

Là aussi, la recherche est formelle : s’auto-interroger (sous forme de QCM, flashcards ou quiz maison) produit un effet d’apprentissage supérieur à la relecture passive. Le fait de « chercher » la réponse, même sans réussir, mobilise les circuits de consolidation.

Un adolescent HPI gagne à intégrer cette méthode dans son quotidien, en particulier s’il a tendance à tout vouloir maîtriser d’un coup. Ces outils, accessibles et peu chronophages, l’aident à structurer ses savoirs sans surcharger son attention.

 

L’approfondissement par projet

Certains élèves HPI expriment un besoin fort de cohérence et de profondeur. Ils s’épanouissent dans des projets à long terme où ils peuvent explorer un sujet de manière transversale. Participer à un concours scientifique, créer un blog d’analyse, mener une enquête documentaire : autant d’activités qui mobilisent leurs compétences sans les enfermer dans un cadre purement scolaire.

Faut-il accélérer ou enrichir le parcours d’un adolescent HPI ?

Lorsqu’un adolescent s’ennuie franchement en classe malgré des efforts d’adaptation, deux options sont à considérer : l’accélération (par exemple un saut de classe ou une spécialité anticipée) et l’enrichissement (ajout de contenus ou projets sans modification du niveau scolaire).

La recherche montre que l’accélération, lorsqu’elle est bien accompagnée, ne nuit ni à l’équilibre socio-affectif ni à la réussite à long terme. Mais elle doit s’appuyer sur un dialogue approfondi entre l’élève, la famille, et l’équipe éducative.

L’enrichissement, quant à lui, permet de nourrir la curiosité sans couper l’élève de ses repères sociaux. Sections internationales, projets interdisciplinaires, spécialités rares : ces leviers sont particulièrement adaptés aux profils HPI dont l’ancrage relationnel est essentiel.

Orientation post-bac : aider un adolescent HPI à s’y retrouver

L’orientation reste souvent un casse-tête pour les familles d’adolescents HPI. Faut-il « viser haut » ? Faut-il au contraire « protéger » l’élève de filières jugées trop élitistes ? La réponse se situe ailleurs : dans l’alignement entre les centres d’intérêt, les compétences réelles, et le type d’apprentissage préféré.

Dès la 3e, des stages d’observation, des MOOC, ou des ateliers thématiques permettent d’explorer différents univers sans pression. Les questionnaires d’intérêts, comme ceux fondés sur le modèle RIASEC, donnent également des indications utiles.

Une stratégie Parcoursup adaptée

Parcoursup donne désormais accès aux attendus précis des formations. Il devient possible de les étudier finement pour construire un parcours cohérent, et pour rédiger des lettres de motivation adaptées.

Certaines formations comme les CPES, les licences doubles ou les prépas intégrées s’avèrent particulièrement adaptées aux profils HPI… à condition de bien en mesurer les exigences.

À cette étape du parcours, se pose à nouveau la question : comment aider un adolescent HPI à faire les bons choix sans le surcharger ni le freiner ?

 

Ressources utiles pour aller plus loin

Conclusion

Aider un adolescent HPI, ce n’est ni lui mettre la pression, ni le laisser seul face à ses performances. C’est lui offrir un cadre structurant et stimulant, où il peut exprimer ses forces tout en développant les compétences dont il aura besoin pour tenir la distance.

À l’heure des choix d’orientation, il ne s’agit pas d’aller vite ou loin, mais de marcher au bon rythme, dans la bonne direction.

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L’adolescence est une étape clé du développement de votre enfant, particulièrement complexe lorsqu’il s’agit d’un adolescent avec TDAH. Cette période apporte son lot de défis physiques, émotionnels et sociaux, intensifiés par le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). En tant que parent d’un adolescent avec TDAH, vous trouverez ici des conseils pratiques pour mieux comprendre le trouble, apporter un soutien efficace, et préserver une relation parent-enfant harmonieuse.

Qu’est-ce que le TDAH chez l’adolescent ?

Définition du TDAH chez l’adolescent

Le TDAH chez l’adolescent est un trouble neurodéveloppemental affectant principalement trois domaines :

  • Inattention : Votre adolescent peine à maintenir son attention et semble souvent distrait.

  • Impulsivité : Il agit souvent sans réfléchir aux conséquences immédiates.

  • Hyperactivité : Il ressent le besoin constant de bouger, même si cette agitation devient souvent interne à l’adolescence.

Fonctionnement cérébral de l’adolescent avec TDAH

Chez les adolescents avec TDAH, ce trouble provient d’un retard de maturation du cortex préfrontal. Cette région du cerveau est essentielle à l’organisation et à la régulation émotionnelle. Cela entraîne des difficultés à planifier, gérer le temps, retenir les informations et tolérer la frustration.

Identifier les troubles associés au TDAH

Le TDAH chez l’adolescent peut s’accompagner d’autres troubles, comme l’anxiété, les troubles de l’humeur, la dyslexie, la dyscalculie, ou encore les troubles du sommeil. Une faible estime de soi peut également être présente.

Comment accompagner efficacement un adolescent avec TDAH au quotidien ?

Instaurer un cadre clair pour votre adolescent avec TDAH

Votre adolescent avec TDAH a besoin de repères stables pour mieux gérer ses difficultés. Créez des routines précises pour les heures de coucher, de repas et de travail scolaire. Utilisez des outils visuels comme les plannings et checklists pour faciliter son autonomie.

Utiliser le renforcement positif avec votre adolescent TDAH

Les adolescents souffrant de TDAH reçoivent souvent plus de critiques que d’éloges. Cela peut profondément affecter leur estime personnelle. Ainsi, valorisez systématiquement les efforts de votre adolescent avec TDAH. Félicitez-le clairement et régulièrement.

Faciliter les apprentissages scolaires chez l’adolescent avec TDAH

Le TDAH ne diminue pas l’intelligence, mais rend l’apprentissage plus difficile. Soutenez votre adolescent en structurant ses tâches scolaires. Créez un environnement calme, sans distractions, et favorisez des méthodes actives comme les cartes mentales et les quiz interactifs. L’usage d’outils numériques comme des timers ou des agendas peut aussi l’aider.

Astuce pratique : La méthode Pomodoro, alternant 25 minutes de travail et 5 minutes de pause, est particulièrement adaptée.

Gérer les émotions chez votre adolescent avec TDAH

Les adolescents avec TDAH peuvent réagir fortement aux frustrations. Apprenez-lui à identifier ses émotions et pratiquez une écoute active, sans jugement. Proposez des techniques simples, telles que la respiration profonde ou des pauses dédiées.

Développer progressivement l’autonomie de votre adolescent avec TDAH

Encouragez votre adolescent à participer à la recherche de solutions. Certaines règles restent non négociables, mais vous pouvez lui confier progressivement plus de responsabilités. Cela favorise son autonomie tout en maintenant un cadre rassurant.

Préserver la relation parent-enfant malgré le TDAH

Le TDAH peut parfois compliquer les relations familiales. Il est essentiel de préserver une relation positive en distinguant l’identité de votre adolescent de ses comportements difficiles. Instaurez régulièrement des moments de détente sans enjeux scolaires. Affirmez votre confiance et exprimez toujours des attentes positives à son égard.

Collaborer avec l’école pour votre adolescent avec TDAH

Une bonne communication avec l’école est essentielle pour accompagner efficacement un adolescent avec TDAH. Informez clairement l’équipe éducative sur les besoins liés au TDAH. Envisagez la mise en place d’un Plan d’Accompagnement Personnalisé (PAP) ou d’un Projet Personnalisé de Scolarisation (PPS). Maintenez également des échanges réguliers avec les enseignants.

Quand consulter un professionnel pour un adolescent avec TDAH ?

Sollicitez rapidement un professionnel en cas de difficultés sérieuses telles que : troubles anxieux, dépressifs, déscolarisation partielle, troubles sévères du comportement, isolement social ou conduites à risque. Un suivi spécialisé, incluant un bilan neuropsychologique ou un coaching parental, peut être bénéfique.

Conclusion

Vivre avec un adolescent avec TDAH demande patience et adaptabilité. Votre rôle de parent n’est pas de changer votre adolescent, mais de lui offrir le soutien nécessaire pour qu’il trouve ses propres stratégies d’adaptation. Avec bienveillance et exigence, cette période peut devenir une opportunité de croissance pour votre enfant.

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Explorons les raisons scientifiques pour lesquelles motiver un enfant atteint de TDAH demande une approche spécifique, et découvrons des stratégies réellement adaptées.

Un cerveau qui traite l’information différemment

Les enfants atteints de TDA/H ne manquent ni d’intérêt ni de volonté : leur cerveau fonctionne différemment. Plusieurs facteurs neurologiques expliquent pourquoi les stratégies classiques échouent :

  • Leurs fonctions exécutives (planification, attention, inhibition) sont altérées : ils peinent à filtrer les distractions et à se focaliser durablement.

  • Le TDA/H s’accompagne souvent d’un déficit en dopamine, neurotransmetteur essentiel à la motivation, au plaisir et à la régulation des efforts.

Leur charge cognitive est plus élevée : maintenir l’attention leur demande un effort considérable, souvent invisible, ce qui engendre frustration, démotivation et baisse de l’estime de soi.

Des perceptions négatives qui minent la motivation

Ces particularités neurologiques induisent souvent des pensées négatives face à la tâche :

  • « Je n’ai pas envie » : absence de désir ou de plaisir anticipé.

  • « Ça ne sert à rien » : perte de sens ou d’objectif.

  • « Je vais encore échouer » : peur de la honte ou de l’humiliation.

  • « On va m’en demander encore plus » : évitement du succès.

  • « Tu ne peux pas m’y obliger » : quête de contrôle personnel.

Ces réactions ne sont pas des caprices : elles traduisent une tentative de préservation de soi face à une surcharge cognitive ou émotionnelle.

Comment motiver un enfant atteint de TDAH: les leviers efficaces

1. Nommer et normaliser le trouble

Commence par expliquer à l’enfant ce qu’est le TDA/H. Ce n’est ni une tare ni une fatalité, mais un fonctionnement neurologique particulier. Il peut rendre certaines tâches plus difficiles, sans remettre en cause son intelligence ou sa valeur.

2. Clarifier les enjeux

Aide-le à comprendre que ses difficultés ne sont pas un manque d’effort, mais une difficulté à mobiliser les bons outils cognitifs. Cette mise en mots diminue la culpabilité et l’auto-dévalorisation.

3. Positiver les difficultés

Présente les obstacles comme des compétences à développer plutôt que comme des déficits. Exemple à lui dire : « Tu n’es pas incapable. Tu as besoin d’apprendre à fonctionner autrement. »

Construire la motivation de l’intérieur

Développer la conscience de soi

Encourage l’enfant à identifier les effets du TDA/H sur sa vie quotidienne. Qu’est-ce qui le gêne ? Quelles sont ses forces ? Ce travail de métacognition est un levier puissant d’autonomisation.

Adopter des stratégies concrètes

  • Apprendre à s’auto-évaluer : avant et après une tâche.

  • Être soutenu par un mentor ou coach : pour garder le cap.

  • S’entourer d’un groupe bienveillant : éviter l’isolement scolaire ou social.

  • Célébrer les progrès : même minimes. Cela renforce le circuit de la récompense.

Favoriser la mentalité de croissance : remplacer « je n’y arrive pas » par « je ne sais pas encore faire ».

Conclusion : la clé pour motiver un enfant atteint de TDAH, c’est l’ajustement

Motiver un enfant atteint de TDAH nécessite de sortir des schémas classiques. Ce n’est pas l’enfant qu’il faut “corriger”, mais bien l’environnement qu’il faut adapter. Une approche individualisée, bienveillante et fondée sur les sciences cognitives permet de bâtir une motivation plus stable et plus durable. En changeant notre regard, nous devenons les alliés de leur réussite.

Référence : Schultz, Jerome, Ph.D. « How Parents and Teachers Can Use Brain Science to Increase Motivation in Children with ADHD. » ADDitude. Consulté en septembre 2024.

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Pendant mes 25 années dans l’Éducation nationale, j’ai souvent entendu cette inquiétude, exprimée par des parents démunis ou des enseignants perplexes. Et pour cause : de nombreux élèves apprennent leurs leçons sérieusement… pour les oublier quelques jours plus tard.

Mais alors, pourquoi un enfant ne mémorise pas ce qu’il apprend ? La réponse se trouve dans le fonctionnement même de notre mémoire.

Pourquoi un enfant ne mémorise pas ce qu’il apprend : l’explication scientifique

Le cerveau humain est programmé pour oublier rapidement ce qui ne lui semble pas indispensable. C’est ce qu’a démontré le psychologue allemand Hermann Ebbinghaus avec la célèbre courbe de l’oubli. Même si une information est parfaitement acquise à un instant T, elle commence à s’effacer très vite… à moins d’être consolidée.

Le cerveau, très économe en énergie, ne conserve durablement que ce qui est utilisé régulièrement. En somme, la mémoire fonctionne comme un muscle : ce qu’on ne sollicite pas s’atrophie, ce qu’on exerce se renforce.

Apprentissage et répétition espacée : une réponse concrète quand un enfant ne mémorise pas

Si vous cherchez comment aider un enfant qui ne mémorise pas, la méthode de la répétition espacée offre une piste efficace, validée par la recherche en sciences cognitives.

Son principe ? Revoir les informations à intervalles croissants, avant qu’elles ne soient complètement oubliées. Contrairement aux « bachotages » de dernière minute, elle favorise une mémorisation en profondeur.

Les avantages de cette méthode :

  • Elle lutte activement contre l’oubli naturel.

  • Elle rend l’apprentissage plus efficace en moins de temps : plusieurs sessions courtes valent mieux qu’une longue.

  • Elle réduit le stress : plus besoin d’apprendre dans l’urgence.

Comment appliquer la méthode avec un enfant qui ne mémorise pas

Utiliser des flashcards

Les flashcards sont des cartes mémoire à double face. On écrit une question d’un côté, la réponse de l’autre. Leur utilisation dans un système de répétition espacée est redoutablement efficace :

  • Le jour ou le lendemain de l’apprentissage

  • Trois jours plus tard

  • Une semaine après

  • Puis un mois après

  • Et enfin tous les deux à trois mois

💡 Astuce : regroupez les cartes dans une boîte. Celles que votre enfant maîtrise peuvent être mises de côté, les autres repassent dans le jeu pour être revues.

Utiliser des applications gratuites

Des outils comme Anki ou Quizlet intègrent directement des algorithmes de répétition espacée. Ils conviennent dès le collège, et permettent un suivi personnalisé des révisions.

Pourquoi un enfant ne mémorise pas malgré tous les efforts : penser aussi aux troubles des apprentissages

Parfois, malgré une bonne hygiène de travail et l’utilisation des méthodes les plus efficaces, la mémorisation reste difficile. Dans ce cas, il est important de ne pas culpabiliser votre enfant ni vous-même.

Certains troubles cognitifs peuvent perturber la mémoire de travail, la concentration ou le traitement des informations. Un trouble du langage écrit (dyslexie), un trouble de l’attention (TDAH) ou un trouble mnésique spécifique peuvent passer inaperçus au début, surtout chez les enfants intelligents et volontaires.

Si vous avez un doute, ou si les difficultés persistent malgré les conseils de cet article, n’hésitez pas à consulter un orthophoniste ou un neuropsychologue. Un bilan peut permettre de comprendre l’origine du problème et de mettre en place des aides ciblées.

Les bénéfices à long terme : apprendre à mémoriser, c’est apprendre à réussir

Lorsque votre enfant comprend comment fonctionne sa mémoire, il ne se contente plus de « bachoter ». Il développe des compétences essentielles pour sa scolarité et au-delà :

  • Une mémoire durable, qui facilite les apprentissages futurs

  • Une autonomie accrue, grâce à une meilleure maîtrise de ses révisions

  • Une confiance retrouvée, car les résultats suivent enfin les efforts

Et après ? Accompagner votre enfant dans la durée

Il ne suffit pas d’apprendre, encore faut-il savoir comment s’y prendre. C’est tout l’enjeu du coaching scolaire, qu’il soit individuel ou collectif.

Grâce à un accompagnement personnalisé, votre enfant apprend à utiliser les bons outils, à gérer son temps, à organiser ses révisions et à retrouver le plaisir d’apprendre.

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La méthode Feynman

La méthode Feynman

La méthode Feynman: l’outil idéal pour un apprentissage solide 📚

Ètudiant 🎓, parent d’étudiant 👨‍👩‍👧 ou simplement quelqu’un qui cherche à mieux comprendre le monde 🌍, apprendre vous concerne. L’apprentissage est un processus qui nous accompagne tout au long de notre vie. La méthode Feynman, inspirée du physicien Richard Feynman, offre une approche efficace pour assimiler des informations de manière efficace et durable. Cette méthode est au centre de notre pratique d’accompagnement des lycéens et étudiants.

Comprendre plutôt que mémoriser 🤔

La première étape de cette méthode consiste à s’immerger dans le sujet. Au lieu de se contenter de mémoriser des informations, il faut chercher à les comprendre. Cela peut passer par la lecture 📖, le visionnage de vidéos 🎥 ou l’écoute de conférences 🎧.

L’idée est de construire une véritable compréhension du sujet, en reliant les nouvelles informations à ce que l’on sait déjà.

Pour le lycéen ou l’étudiant, cela signifie explorer l’ensemble des informations disponibles. Il s’agit du cours, mais aussi du manuel ou de vidéos, d’articles, etc..

L’importance d’expliquer 💬

Une fois que vous avez une base solide sur le sujet, essayez d’expliquer ce que vous avez appris à quelqu’un d’autre, ou même à vous-même. Cet exercice d’enseignement est un excellent moyen de tester votre compréhension. Si vous trouvez difficile d’expliquer un concept, c’est probablement parce que vous ne l’avez pas encore totalement assimilé. Retournez alors à vos sources et approfondissez ces zones floues.

Dans le programme « 6 heures pour réussir », notre approche est un peu simplifiée. Chaque séance de travail sur un cours commence par une phase d’auto-évaluation. Il s’agit de prendre une feuille et de noter tout ce que l’on sait sur le sujet, comme ça vient. Puis d’essayer progressivement de le structurer. Une fois cette phase de recherche terminée, on retourne vers le cours et les ressources dont on dispose pour rechercher ce qui manque.

Ensuite, on reprend sa feuille pour compléter de mémoire. Cet aller-retour entre le cours et la feuille blanche doit durer jusqu’à avoir réussi à tout restituer.

Pourquoi ça marche? Un regard sur le cerveau 🧠

D’un point de vue neuroscientifique, cette méthode d’enseignement active des parties spécifiques du cerveau qui renforcent la mémorisation. En expliquant un concept, nous créons et renforçons des connexions neuronales, ce qui facilite la rétention de l’information. De plus, en identifiant les zones d’incertitude et en y revenant, nous engageons notre cerveau dans un apprentissage actif, bien plus efficace que la simple relecture.

Simplifier pour mieux comprendre ✍️

La dernière étape de la méthode Feynman est la simplification. Après avoir enseigné le sujet, prenez un moment pour le résumer dans vos propres mots, de la manière la plus simple possible. Cela vous aidera non seulement à consolider votre compréhension, mais aussi à rendre l’information plus accessible pour une future révision ou discussion.

En conclusion 🌟

L’apprentissage ne se limite pas aux années d’études. C’est un voyage qui dure toute la vie. Que vous cherchiez à acquérir de nouvelles compétences, à aider votre enfant dans ses études ou simplement à satisfaire votre curiosité, la méthode Feynman est un outil précieux pour rendre cet apprentissage plus efficace et plus agréable. En comprenant profondément et en partageant nos connaissances, nous enrichissons non seulement notre propre vie, mais aussi celle de ceux qui nous entourent.

Cette méthode est intégrée au programme « 6 heures pour réussir » proposé par Eklosia à destination des lycéens et des étudiants. Ce programme vise à fournir des outils et des techniques éprouvés pour maximiser le potentiel d’apprentissage et réussir dans le monde académique.

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