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Les signes et les symptômes de l’anxiété de performance peuvent varier d’une personne à l’autre, mais certains signes courants chez les adolescents peuvent attirer votre attention :
Les adolescents anxieux de performance peuvent se sentir tendus et anxieux avant et pendant la performance. Ils peuvent également avoir des tremblements, des sueurs froides, des frissons ou des palpitations cardiaques. Un comportement anormalement agressif peut également être un signal d’alerte.
L’anxiété de performance peut entraîner des troubles du sommeil, tels que l’insomnie, des cauchemars ou des réveils fréquents. Il est important d’être attentif au sommeil des adolescents. Un manque de sommeil ne peut qu’accroitre leurs difficultés psychologiques. (En savoir plus : Institut national du sommeil et de la vigilance). Les adolescents sont déjà très souvent en déficit de sommeil de façon chronique en raison de leur tendance naturelle à décaler leur heure d’endormissement.
Les adolescents anxieux de performance peuvent passer beaucoup de temps à penser à leur performance à venir, à s’inquiéter des conséquences d’un échec ou à se préoccuper de leur capacité à réussir.
L’anxiété de performance peut rendre difficiles la concentration et la mémorisation de l’information. Cet aspect est particulièrement gênant puisque l’angoisse d’une performance à venir réduit la capacité à se préparer à cette échéance.
Les adolescents anxieux de performance peuvent éviter de commencer une tâche ou de se préparer pour la performance en question, en raison de la peur de l’échec. Certains peuvent même éviter complètement les situations de performance pour éviter l’anxiété qu’elles suscitent. Cette anxiété peut conduire à un évitement total de l’école et donc à la déscolarisation.
En période d’examens, nombreux sont les adolescents susceptibles d’être concernés par l’anxiété de performance. Mais il ne faut pas oublier que cette anxiété peut-être présente toute l’année et même à des niveaux sans enjeu important en matière d’orientation. Des enfants de moins de 12 ans souffrent également d’anxiété de performance.
Mettre trop de pression sur un enfant pour qu’il réussisse crée un environnement de stress et d’anxiété. Notamment si les attentes en termes de notes, de performances, mais aussi d’activités extrascolaires sont irréalistes ou non respectueuses des besoins physiologiques de l’enfant.
Les adultes qui critiquent régulièrement l’enfant pour ses erreurs ou ses échecs contribuent également à l’anxiété de performance. Des commentaires sur les résultats scolaires ou les performances sportives, qui font sentir à l’enfant qu’il n’est jamais assez bon, ont un effet extrêmement négatif.
Comparaisons avec les autres enfants : Les adultes qui comparent l’enfant à d’autres enfants, que ce soit au niveau scolaire ou dans d’autres domaines, contribuent à créer un sentiment d’anxiété lui faisant sentir qu’il doit constamment se mesurer aux autres et qu’il est en compétition permanente.
Cette comparaison est notamment très nocive quand elle est faite vis-à-vis d’un autre membre de la fratrie ou de la même famille (un parent comparant son enfant à son aîné ou à lui-même au même âge, ou un enseignant comparant deux frères ou sœurs).
Les parents qui surprotègent leur enfant peuvent également contribuer à l’anxiété de performance. En voulant protéger leur enfant contre l’échec ou la déception, ils peuvent empêcher leur enfant de développer les compétences nécessaires pour faire face aux situations difficiles.
Les enfants peuvent ressentir une pression pour réussir de la part de leurs pairs. Cela peut se manifester par exemple dans la compétition pour obtenir de bonnes notes, des places dans des équipes sportives ou des rôles dans des pièces de théâtre scolaires.
Les événements stressants de la vie peuvent également contribuer à l’anxiété de performance. Cela peut inclure des changements de vie importants, tels que le divorce des parents, un déménagement ou la perte d’un être cher.
Les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage ou des troubles de l’attention peuvent être plus enclins à l’anxiété de performance en raison des défis supplémentaires qu’ils doivent relever pour réussir.
Les enfants qui ont une faible estime de soi peuvent être plus enclins à l’anxiété de performance, car ils peuvent avoir l’impression qu’ils ne sont pas capables de réussir.
Les enfants qui ont des antécédents d’anxiété ou de troubles anxieux peuvent être plus enclins à l’anxiété de performance en raison de leur tendance à être plus sensibles aux situations stressantes.
L’adolescent peut pratiquer la tâche ou la compétence qui génère de l’anxiété plusieurs fois avant l’événement afin de se familiariser avec celle-ci. Naturellement si l’anxiété de votre enfant se manifeste par un travail intensif, ce conseil est à éviter.
Il peut aider l’adolescent à visualiser une expérience positive de la tâche ou de la compétence. Par exemple, imaginer qu’il fait une présentation réussie ou gagne une compétition.
Il est important d’encourager l’adolescent à pratiquer des exercices de respiration profonde pour réduire l’anxiété. La respiration profonde peut aider à calmer le corps et l’esprit. Il est possible de proposer des activités de cohérence cardiaque régulièrement. Il est plus efficace de ne pas pratiquer uniquement en période de crise d’angoisse.
Une pratique sportive modérée est aussi un moyen de faire baisser l’anxiété. La modération est importante, il ne faudrait pas substituer une anxiété de performance sportive à l’anxiété scolaire !
Encouragez l’adolescent à avoir des attentes réalistes pour la situation. Il doit se rappeler que personne n’est parfait et qu’il n’est pas nécessaire de viser la perfection.
Il est important d’éviter les stimulants comme la caféine, qui peuvent augmenter l’anxiété. Certains adolescents peuvent être tentés de recourir au cannabis pour contrôler leur anxiété. C’est à éviter absolument. Il existe des preuves scientifiques que le cannabis peut jouer un rôle dans l’anxiété de performance chez certaines personnes, bien que les mécanismes exacts ne soient pas encore complètement compris. Certaines études ont montré que l’utilisation régulière de cannabis affecte la mémoire à court terme, l’attention et la capacité à traiter les informations complexes, ce qui peut entraîner des difficultés dans les activités scolaires et professionnelles. De plus, certaines personnes peuvent éprouver des sentiments d’anxiété, de nervosité ou de panique lorsqu’elles consomment du cannabis. Cette anxiété peut être particulièrement préoccupante pour les personnes qui ont déjà une tendance à l’anxiété de performance, car elle peut amplifier ces sentiments et rendre plus difficile pour l’individu de se concentrer sur la tâche à accomplir.
Il est important d’encourager l’adolescent à se concentrer sur ses points forts plutôt que sur ses faiblesses. Les adolescents doivent être encouragés à apprendre de leurs erreurs plutôt que de les considérer comme des échecs. Pour les parents, il est très important de ne pas se focaliser sur les résultats scoalres. Malheureusement, dans de nombreux cas, les résultats scolaires sont un des seuls sujets de conversation entre parents et ado. Les notes ne sont qu’une toute petite partie de ce qui constitue l’univers de votre enfant, il faut vous intéresser à tous les autres aspects également. Dans le respect de son intimité, naturellement.
Si l’anxiété de performance est sévère ou persistante, il est nécessaire de consulter un professionnel de la santé mentale. Il peut aider à fournir des stratégies plus personnalisées pour aider l’adolescent à surmonter son anxiété de performance.
Aucun enfant ne se lève un jour en décidant : « aujourd’hui, je vais échouer ».
Mais ils sont nombreux à se réveiller avec la certitude silencieuse que, ce jour encore, ils ne réussiront pas.
L’échec scolaire n’est pas une posture volontaire. C’est une souffrance intime, insidieuse.
Au début, l’élève lutte : il essaie de comprendre, de se concentrer, de satisfaire. Puis vient l’usure. L’estime de soi s’effrite, la confiance vacille, la volonté de lutter s’éteint peu à peu.
Alors comment surmonter un échec scolaire quand tout semble s’être effondré ?
L’enfant en échec ne retrouve plus cette joie d’autrefois : les sourires de fierté de ses parents, les félicitations, les moments de réussite simples — les premiers pas, le premier dessin d’école maternelle, les premières bonnes notes.
Quand cette image de bon élève lui paraît inaccessible, il se protège en se réinventant :
Élève rebelle ou insolent, qui perturbe la classe
Clown de service, qui fait rire pour masquer son mal-être
Enfant sage, effacé, qu’on oublie au fond de la classe
À la maison, les tensions s’installent. L’enfant fuit les devoirs, les parents s’inquiètent, haussent le ton, exercent une pression qui se transforme en conflit. Chacun souffre de ce qu’il ne comprend plus.
Face à un élève en difficulté, la réponse institutionnelle se résume trop souvent à :
« Il faut qu’il se mette au travail ».
Mais si les choses étaient si simples, l’échec scolaire n’existerait pas. Le vrai problème est ailleurs : dans le décrochage intérieur, la perte de sens, la surcharge cognitive, l’absence d’outils adaptés.
Les enfants, eux, se réfugient dans ce qui leur donne encore un sentiment de compétence :
les copains, les jeux vidéos, les activités sportives ou artistiques… Là où ils brillent encore, loin des salles de classe.
Surmonter un échec scolaire commence par reconstruire l’estime de soi. Cela passe par :
Reconnaître les efforts plutôt que les résultats
Valoriser les compétences extrascolaires
Identifier les réussites passées, même minimes
La prise en charge varie selon l’âge :
À l’école primaire, certains enseignants peuvent encore adapter leur pédagogie et s’appuyer sur les RASED (quand ils existent encore)
Au collège et au lycée, les moyens d’aide sont plus réduits, les classes souvent surchargées, et les enseignants rarement formés à la différenciation pédagogique ou aux troubles des apprentissages
C’est pourquoi un accompagnement extérieur, personnalisé et bienveillant, peut faire toute la différence. Il permet de redonner du sens aux apprentissages, de proposer des méthodes alternatives, de lever les freins cognitifs ou émotionnels.
Un adolescent qui ne sait pas pourquoi il apprend aura du mal à retrouver l’envie d’apprendre. C’est là que l’orientation scolaire joue un rôle fondamental.
En explorant ses forces, ses intérêts, ses valeurs, on peut l’aider à se projeter, à reconstruire une motivation intrinsèque, à comprendre que les apprentissages ne sont pas qu’un chemin vers la note, mais vers lui-même.
Surmonter un échec scolaire, c’est d’abord poser un autre regard sur ce qui se joue.
Ce n’est pas une faiblesse, ni une paresse. C’est un signal, souvent mal entendu.
Je propose plusieurs types d’accompagnements pensés pour les adolescents en difficulté scolaire :
Des coachings scolaires, individuels ou en petit groupe, pour redonner confiance, structurer le travail, et proposer des méthodes adaptées à chacun
Des bilans d’orientation, pour les aider à se projeter, à retrouver du sens et à bâtir un parcours à leur image
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La compétence c’est la perception d’avoir les compétences nécessaires pour réussir dans une tâche. Lorsque les individus perçoivent qu’ils ont les compétences pour réussir, ils sont plus motivés à se lancer dans une activité.
L’autonomie correspond au besoin de contrôler sa propre vie et ses activités. Nous sommes plus motivés lorsqu’ils nous pouvons prendre nos propres décisions et être responsables de notre propre vie.
L’appartenance renvoie au besoin de se sentir en lien avec les autres. Les individus qui ont des relations positives avec les autres sont plus motivés lorsqu’ils se sentent appréciés et connectés.
Selon Deci et Ryan, lorsque ces besoins sont satisfaits, les individus sont plus motivés et engagés dans leurs activités. Lorsque ces besoins ne sont pas satisfaits, la motivation est réduite.
La théorie de l’autodétermination suggère que la motivation intrinsèque est plus durable et plus efficace que la motivation extrinsèque.
Pour motiver votre adolescent, vous pouvez :
Voici quelques activités qui peuvent améliorer le sentiment de compétence chez les adolescents :
Les occasions d’apprendre ou de développer des compétences et de se développer en tant que personnes : les cours de cuisine, de programmation informatique et de bricolage…
Les activités de leadership, telles que les programmes de mentorat scolaire, les activités de bénévolat et les activités en groupe, qui donnent aux adolescents l’occasion de prendre des décisions et de diriger d’autres personnes.
Les situations de résolution de problèmes, notamment en groupe, qui donnent aux adolescents l’occasion de développer leur capacité à résoudre des problèmes et à prendre des décisions.
Les opportunité de se dépasser, notamment les activités de plein air, qui donnent aux adolescents l’occasion de repousser leurs limites et de développer leur confiance en soi.
Les activités de prise de parole en public, telles que les débats scolaires, les présentations et les activités de théâtre, qui donnent aux adolescents l’occasion de développer leur confiance en leur capacité à communiquer efficacement avec les autres.
Confier des responsabilités à un adolescent améliore son sentiment de compétence et renforce sa confiance en soi. C’est ainsi que l’on peut mieux motiver un adolescent.
Voici quelques types de responsabilités que vous pouvez confier à un adolescent :
Il est important de trouver un équilibre entre les responsabilités confiées aux adolescents et leur capacité à les gérer afin d’éviter de les surcharger. Il est bien évident également que ce type de responsabilité ne peut pas être confiée subitement à une personne à son entrée dans l’adolescence, mais qu’elles doivent avoir été introduites progressivement depuis son enfance.
Les parents doivent guider et aider les adolescents tout au long du processus pour les aider à réussir et à se sentir compétents.
Les activités qui peuvent améliorer le sentiment d’autonomie chez les adolescents sont par exemple :
Voici quelques activités qui peuvent améliorer le sentiment d’appartenance chez les adolescents :
La motivation ne peut pas être imposée de l’extérieur. Pour que la motivation soit véritablement durable, elle doit venir de l’intérieur de l’adolescent. Les parents peuvent aider en fournissant un environnement positif et en encourageant leur enfant à explorer leurs intérêts et à développer leur propre but et sens.
Les récompenses peuvent temporairement augmenter la motivation d’un adolescent, mais elles risquent de réduire la motivation intrinsèque à long terme.
Les récompenses extrinsèques peuvent faire en sorte que l’adolescent soit moins motivé par l’intérêt ou la passion qu’il a pour une activité et plus par la récompense en elle-même. Il a été prouvé que les activités soutenues par des récompenses, même intéressantes, sont abandonnées rapidement dès lors que la source de motivation extrinsèque disparaît (récompense).
Il est important de noter que les récompenses peuvent être efficaces pour encourager certains comportements, mais il est également important de mettre en place un environnement qui encourage l’autonomie, la compétence et l’appartenance, afin de renforcer la motivation intrinsèque.
En conclusion, il est possible d’utiliser des récompenses pour motiver un adolescent, mais cela doit être fait avec précaution pour ne pas réduire la motivation intrinsèque. Il est préférable de se concentrer sur la création d’un environnement qui encourage les besoins fondamentaux de compétence, d’autonomie et d’appartenance.
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C’est à peine s’ils s’autorisent à demander aux enfants d’apprendre par cœur une ou deux poésies. Et encore, à l’école primaire uniquement.
On vit dans l’illusion que seule compte la compréhension et qu’apprendre par cœur serait contradictoire avec ce besoin de comprendre. Toutes les données sont maintenant dans le nuage et grâce au téléphone que nous avons dans la poche, nul besoin de mémoriser les choses.
Déléguer à des appareils le stockage des informations c’est pourtant aussi faire l’impasse sur les mécanismes qui permettent de traiter ces données.
Pourquoi cette illusion de savoir ? Ce n’est pas parce qu’on peut trouver une information que l’on est capable d’en faire usage.
Beaucoup de théories du complot reposent sur une interprétation erronée de données exactes. Lorsque les élèves jugent qu’il n’est pas utile de mémoriser des données au prétexte qu’elles sont disponibles en ligne, ils ne se rendent pas compte qu’en ne les apprenant pas (par cœur), ils n’apprennent pas à les traiter, les analyser. Pouvoir trouver sur le web les dates d’accession au pouvoir de Mussolini, Staline et Hitler ne permet pas de comprendre l’arrivée de la Seconde guerre mondiale. Il n’est pas non plus possible de réfléchir aux causes du second conflit mondial sans avoir en tête les dates clés.
Grossière erreur de penser qu’il n’est plus nécessaire de mémoriser, comme s’il était possible de dissocier l’information de son traitement.
Si je télécharge du nuage une série de vidéos de Rafael Nadal en train de servir au tennis, je dispose de toutes les informations requises pour bien servir également. Je peux même trouver sur internet, les données statistiques concernant l’angle d’inclinaison de sa raquette, la force à développer et la vitesse initiale de la balle.
Pourtant, il ne viendrait à l’idée de personne de croire que c’est suffisant pour devenir champion de tennis. Tant que je n’aurai pas saisi la raquette moi-même et répété 10 000 fois le geste de servir, je ne pourrai pas prétendre me mettre en face de Nadal.
Alors qu’il est clair pour tout le monde que les apprentissages sportifs passent nécessairement par la répétition et par l’apprentissage (par cœur) d’enchainement de gestes, pourquoi n’en serait-il pas de même pour les apprentissages supposés intellectuels ? En réalité, notre cerveau traite de la même manière les apprentissages, quels qu’ils soient. Il s’agit toujours de créer des chemins neuronaux. Or créer ces chemins ne passe que par la répétition.
De la même façon qu’il est impossible d’apprendre à servir au tennis en regardant une vidéo de Nadal, il est impossible de s’approprier une notion de mathématiques, de physique ou d’histoire géographie sans passer par la répétition d’exercices qui nécessitent simultanément la maîtrise de gestes intellectuels et la manipulation de données en mémoire. Il ne faut pas confondre la mémorisation d’informations qui peuvent aisément être trouvées sur internet et la mémorisation des gestes intellectuels qui en permettent la maîtrise.
L’école attend des élèves qu’ils acquièrent des quantités de notions nouvelles, des milliers de mots de vocabulaire, tout en leur répétant que l’apprentissage par cœur est stupide. L’apprentissage par cœur n’est pas stupide en lui-même, en revanche il est stupide d’apprendre une leçon sans avoir cherché à la comprendre.
Il est fondamental que les élèves s’entraînent à apprendre le plus tôt possible, mais également le plus régulièrement possible. C’est un apprentissage, qui comme tous les autres devient de plus en plus facile au fil de la pratique.
On ne peut apprendre de nouvelles choses que grâce à ce que l’on sait déjà, donc plus on sait de choses, plus on est capable d’en apprendre de nouvelles.
Laisser à la technologie le soin de mémoriser à notre place nous condamne à court terme à ne plus savoir penser.
Voir également cet article : https://eklosia.com/reviser-pour-un-examen-ou-un-concours/
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