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Santé mentale en entreprise : les premières actions à mettre en place

Santé mentale en entreprise : les premières actions à mettre en place

« Je ne sais pas par où commencer. » Cette phrase revient souvent lorsqu’on évoque la santé mentale au travail — et elle traduit à la fois un désarroi sincère et une forme d’urgence. Depuis plus d’une décennie, et de façon exponentielle depuis la crise du Covid-19, les signaux d’alerte se multiplient : stress chronique, burn-out, perte de sens…

En 2025, la santé mentale est enfin reconnue comme Grande Cause Nationale. Pourtant, les chiffres restent préoccupants : 1 actif sur 4 se déclare en mauvaise santé mentale (Parlons RH, 2025).

 

Alors, face à l’ampleur du défi, par où commencer ? Comment initier une démarche qui soit à la fois concrète, humaine et durable, sans tomber dans l’effet d’annonce ou la solution gadget ?

Dans cet article, je vous propose :

  • Un état des lieux du contexte français
  • Une déconstruction des idées reçues
  • Les enjeux pour chaque acteur du monde professionnel
  • Des exemples concrets et des retours d’expérience
  • Des pistes d’actions pragmatiques pour démarrer

 

La santé mentale, Grande Cause Nationale : un engagement politique qui appelle des actions concrètes

1.                  2025 : une reconnaissance officielle, un tournant sociétal

En 2025, la santé mentale a été désignée Grande Cause Nationale par le gouvernement français. Cette initiative vise à briser les tabous, accélérer la prévention, améliorer l’accès aux soins et rendre visibles les souffrances psychiques longtemps reléguées à la sphère privée.

 

Elle s’articule autour de quatre ambitions principales :

  • Sensibiliser largement le grand public et les professionnels,
  • Renforcer la prévention dès le plus jeune âge et dans tous les milieux (école, entreprise, famille),
  • Améliorer le repérage précoce des troubles psychiques,
  • Faciliter les parcours de soins et réduire les inégalités d’accès.

 

2.                  Un cadre politique porteur, mais encore imparfait

Cette reconnaissance a permis plusieurs avancées :

  • La mobilisation conjointe de plusieurs ministères (Santé, Travail, Éducation nationale, Jeunesse),
  • Le financement de projets pilotes portés par des associations, collectivités et professionnels de terrain,
  • Le soutien au déploiement de formations clés, comme les Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM), permettant aux citoyens d’être mieux outillés face à la détresse psychique.

 

3.                  Une dynamique ambitieuse qui se heurte à des limites structurelles notables

  • L’offre de soins reste insuffisante, particulièrement dans les déserts médicaux et les zones rurales,
  • Les délais d’accès aux soins psychologiques et psychiatriques sont encore trop longs,
  • Les entreprises manquent de visibilité sur les aides disponibles pour les soutenir dans la mise en place de dispositifs adaptés.
  • Une impulsion nationale… mais une action locale encore à construire

 

Malgré ces freins, cette initiative donne un élan fort aux acteurs du monde du travail pour dépasser les approches ponctuelles ou symboliques. Elle incite à intégrer la santé mentale dans une logique de politique structurée de Qualité de Vie et des Conditions de Travail (QVCT).

Mais pour transformer cette ambition en réalités tangibles, les actions doivent s’ancrer dans le quotidien professionnel.

 

4.                  Un contexte alarmant qui manque encore de leviers concrets

Les données récentes dessinent une véritable alerte sanitaire et sociale. La reconnaissance politique ne suffit pas : le terrain réclame des moyens, de la clarté, et surtout des actes.

 

Voici quelques chiffres-clés qui illustrent l’ampleur du problème :

  • 1 salarié sur 4 déclare une mauvaise santé mentale (Parlons RH, 2025),
  • Les arrêts de travail longue durée ont augmenté de 58 % en cinq ans (Parlons RH, 2025),
  • 36 % des salariés ne bénéficient d’aucune action de prévention dans leur entreprise (Baromètre Ipsos / Qualisocial, 2025),
  • 47 % des salariés reconnaissent avoir réduit leur efficacité à cause de leur état psychique (GHU Paris, 2024),
  • 12 000 accidents du travail ont été directement liés aux risques psychosociaux en 2023 (Info.gouv, 2024).

 

Ces chiffres montrent que malgré un cadre institutionnel plus favorable, les entreprises et les acteurs de terrain

 

Déconstruire les idées fausses pour mieux agir

Avant de mettre en place des actions efficaces, encore faut-il changer notre regard collectif sur la santé mentale. Trop souvent, des idées fausses, des stéréotypes ou des croyances minimisent la réalité vécue par les personnes concernées. Résultat : silence, culpabilité, invisibilité.

Un article de MyHappyJob, « Santé mentale au travail stop aux clichés » (2023) met en lumière plusieurs de ces représentations erronées — et leurs conséquences néfastes en entreprise.

 

1.                  « Seules les personnes fragiles sont concernées »

Cette croyance renforce la stigmatisation et empêche de nombreuses personnes de parler de leur mal-être. Or, les troubles psychiques n’épargnent personne, quel que soit l’âge, le genre, le poste ou le niveau hiérarchique.

Selon Santé Publique France (2023), les troubles anxieux ou dépressifs concernent plus de 30 % des 18-35 ans et sont également présents chez les dirigeants, cadres, indépendants. Il ne s’agit pas d’une faiblesse individuelle, mais souvent d’une réaction à un environnement de travail délétère ou à des événements de vie.

« C’est souvent ceux qui paraissent les plus solides qui s’effondrent silencieusement », confiait une DRH lors d’un atelier sur les signaux faibles.

 

2.                  « Le télétravail est forcément bénéfique »

Si le télétravail a été salutaire pour certains, notamment pour l’équilibre vie pro/vie perso ou l’autonomie, il peut aussi générer des effets délétères : isolement, hyperconnexion, effacement des limites, perte de repères.

Le baromètre Malakoff Humanis (2023) montre que 64 % des télétravailleurs déclarent éprouver des difficultés à se déconnecter. De plus, 1 salarié sur 3 déclare souffrir d’un sentiment d’isolement dans ce mode de travail.

Le télétravail ne doit donc pas être pensé comme une solution universelle, mais adapté, encadré et régulé pour être bénéfique à long terme.

 

3.                  « Un bon manager ne montre pas ses émotions »

Cette vision du manager « fort, froid et inébranlable » est encore ancrée dans certaines cultures d’entreprise. Pourtant, la posture managériale a profondément évolué : les collaborateurs attendent désormais écoute, bienveillance et humanité.

Montrer sa vulnérabilité — dans une certaine mesure — n’est pas un signe de faiblesse, mais une preuve d’authenticité. Cela favorise la confiance, réduit la peur du jugement, et ouvre un espace où les collaborateurs peuvent s’exprimer sans crainte.

Exemple : Lors d’une formation PSSM, un manager confiait : « C’est le jour où j’ai dit à mon équipe que moi aussi j’avais connu une période difficile que les langues se sont déliées. »

 

4.                  « La santé mentale, c’est personnel »

C’est l’une des idées les plus tenaces — et les plus problématiques. Réduire la santé mentale à une affaire privée revient à déresponsabiliser les environnements professionnels.

En réalité, le cadre de travail joue un rôle déterminant : surcharge, injonctions paradoxales, conflits de valeurs, manque d’autonomie ou d’écoute sont autant de facteurs aggravants. À l’inverse, un climat de confiance, des marges de manœuvre et un soutien social protègent activement la santé mentale.

Les entreprises ont donc un rôle collectif à jouer : en adaptant les conditions de travail, en formant les managers, en déployant des dispositifs accessibles, elles contribuent à un environnement plus soutenable.

 

Des enjeux multiples selon les profils : une responsabilité partagée

La santé mentale au travail ne concerne pas seulement les individus en souffrance. Elle engage toutes les parties prenantes : salariés, indépendants, managers, responsables RH… chacun avec ses spécificités, ses fragilités, mais aussi son pouvoir d’action.

 

1.                  Pour les salariés : entre surcharge et perte de repères

Les salariés sont les premiers exposés aux dérèglements du travail contemporain : injonctions contradictoires, surcharge cognitive, objectifs flous ou irréalistes.

Les conséquences sont bien identifiées :

  • Sentiment d’isolement, même en équipe, lorsqu’aucun espace de parole n’existe,
  • Dévalorisation progressive liée au manque de reconnaissance ou à l’impossibilité d’agir sur son périmètre,
  • Risque d’épuisement émotionnel ou de burn-out, souvent non détecté à temps,
  • Baisse de l’engagement, de la créativité et de la performance à moyen terme.

Un climat de travail anxiogène ou désorganisé peut rapidement miner la santé psychique, même chez des profils réputés « solides ».

 

2.                  Pour les travailleurs indépendants : la double pression de l’autonomie

Souvent idéalisée, l’indépendance professionnelle s’accompagne de vulnérabilités spécifiques :

  • Solitude décisionnelle : pas de collectif pour échanger, partager ou relayer les tensions,
  • Pression constante à performer pour assurer la pérennité de son activité,
  • Flou sur les ressources disponibles : beaucoup ignorent qu’ils peuvent accéder à des services de soutien psychologique (notamment via certains dispositifs URSSAF ou mutuelles).

Pour ces professionnels, la prévention repose sur la capacité à s’auto-réguler, mais aussi à s’entourer et à ne pas banaliser l’épuisement.

 

3.                  Pour les managers : une interface exposée, souvent oubliée

Le rôle du manager est central mais ambigu. Il est à la fois garant des objectifs et relais du bien-être de ses équipes — sans toujours avoir les clés pour naviguer entre les deux.

Les enjeux principaux sont :

  • Difficulté à repérer les signaux faibles, faute de formation ou de temps d’observation,
  • Charge émotionnelle croissante, notamment lorsqu’un collaborateur va mal,
  • Peu de lieux de soutien ou de supervision, alors que leur propre santé mentale est aussi en jeu.

 

De nombreux managers expriment un sentiment d’impuissance ou de peur de « mal faire », ce qui les pousse parfois… à ne rien faire.

 

4.                  Pour les RH et les organisations : enjeux systémiques et leviers de transformation

Les directions RH sont en première ligne pour structurer une réponse organisationnelle efficace, mais elles se heurtent souvent à des contraintes multiples : budgétaires, culturelles, politiques.

Voici les enjeux-clés :

  • Coûts directs et indirects liés à l’absentéisme, au turnover, à la démotivation,
  • Obligation légale de prévention (Code du travail, art. L.4121-1) incluant les risques psychosociaux,
  • Enjeux d’attractivité sur un marché de l’emploi de plus en plus attentif à la QVCT,
  • Nécessité d’un pilotage structuré : diagnostics, plans d’action, indicateurs, implication du management.

C’est en articulant le niveau individuel (écoute, accompagnement) et le niveau organisationnel (cadre, politique RH) que l’entreprise peut réellement devenir un lieu de prévention et de santé.

 

Cas concrets et retours d’expérience : quand la théorie rencontre le terrain

Les politiques de santé mentale ne peuvent se résumer à des chartes ou des intentions générales. Ce sont les situations concrètes, humaines, parfois inconfortables, qui révèlent les besoins réels et les marges de progrès. Voici trois illustrations issues de la pratique terrain.

 

1.                  Mise en situation : quand le retour au travail devient un second traumatisme

Une salariée revient après un arrêt de trois mois pour burn-out. Elle est accueillie par un simple « bon retour » en réunion d’équipe. Aucun temps dédié, aucun entretien de reprise, aucun aménagement de poste n’a été envisagé. Son manager, bienveillant mais démuni, n’ose pas aborder frontalement le sujet : « Je ne savais pas si j’avais le droit d’en parler… »

 

Résultat : en quelques semaines, les mêmes tensions réapparaissent. La collaboratrice s’isole, doute, s’épuise. L’entreprise a respecté ses obligations administratives, mais a échoué à recréer un cadre sécurisé.

Ce type de situation n’est pas rare. Et pourtant, il existe des protocoles simples et efficaces pour accompagner un retour au travail sans risquer la rechute.

 

2.                  Retour d’atelier : quand le silence devient un obstacle

Lors d’un atelier de sensibilisation auprès d’un collectif de managers, une phrase revient souvent :
« J’ai peur de dire quelque chose de mal perçu, alors je préfère ne rien dire du tout. »

Ce silence, bien que motivé par la prudence, peut être interprété comme de l’indifférence. Il alimente la distance, accentue le malaise et ferme les portes du dialogue. Or, une parole maladroite mais sincère vaut souvent mieux qu’un silence gêné.

Le rôle du manager n’est pas de diagnostiquer ou de résoudre, mais d’ouvrir un espace d’écoute, d’orienter, de soutenir. Encore faut-il avoir été formé à cela…

 

3.                  Focus sur le dispositif PSSM : une réponse accessible et structurante

Les Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM) sont l’un des outils les plus prometteurs pour démocratiser la prévention en entreprise. Inspiré des gestes de premiers secours physiques, ce programme forme des collaborateurs volontaires à :

  • Identifier les signes de détresse psychologique,
  • Adopter une posture d’écoute active, sans jugement,
  • Savoir orienter vers les ressources internes ou externes adaptées.

Plus de 75 000 personnes ont déjà été formées en France depuis le lancement du programme (PSSM France, 2024), notamment dans les collectivités, les associations et les entreprises.

 

J’ai moi-même obtenu la certification PSSM en 2023. Cette formation m’a profondément marquée par sa clarté, son pragmatisme, et sa capacité à dédramatiser le sujet. Elle constitue pour moi un socle essentiel de toute politique de prévention crédible et humaine.

 

Par où commencer ? 7 pistes concrètes et innovantes

Agir pour la santé mentale en entreprise ne nécessite pas de tout révolutionner du jour au lendemain. Il s’agit avant tout de poser des actes simples, cohérents, progressifs et adaptés à la culture de l’organisation. Voici 7 leviers concrets et innovants pour passer à l’action, sans attendre une crise.

 

1.                  Former les managers : première ligne de prévention

Le manager est souvent le premier témoin des signaux faibles, mais il manque encore trop souvent de repères pour savoir comment réagir.

Former les managers, c’est leur donner :

  • Des outils pour repérer les changements de comportement,
  • Des techniques d’écoute active et de communication bienveillante,
  • Des réflexes de gestion de situations sensibles sans posture thérapeutique.

Le programme PSSM est une excellente porte d’entrée. Il offre un cadre clair et opérationnel, accessible à tous les niveaux hiérarchiques.

 

2.                  Sensibiliser l’ensemble des salariés

Pour briser les tabous, il faut normaliser le sujet dans le quotidien professionnel. Cela peut prendre différentes formes :

  • Ateliers interactifs sur les émotions, le stress, la charge mentale,
  • Capsules vidéos internes, campagnes de communication visuelle,
  • Espaces d’échanges type « cafés bien-être » animés de façon informelle.

La sensibilisation collective permet d’installer une culture d’écoute mutuelle et d’auto-régulation dans les équipes.

 

3.                  Créer des espaces de parole sécurisés

Exprimer un mal-être au travail reste difficile. Il est donc essentiel de créer des lieux et des temps dédiés, sans jugement ni enjeu hiérarchique.

Exemples d’initiatives :

  • Cercles de parole animés par des intervenants extérieurs,
  • Rendez-vous anonymes avec un psychologue du travail ou un partenaire externe (Moka.care, Moodwork…),
  • Intégration d’un « point santé mentale » régulier dans les rituels managériaux.

Ce qui compte, ce n’est pas la forme unique, mais la régularité et la qualité du cadre posé.

 

4.                  Accompagner les retours après arrêt

Le retour au travail après un burn-out ou un arrêt prolongé est un moment-clé à haut risque de rechute. Il ne peut être improvisé.

Bonnes pratiques :

  • Entretien de reprise individualisé avec la RH ou un référent QVCT,
  • Réaménagement du poste et du rythme de travail (horaires, charge, objectifs),
  • Mise en place d’un système de parrainage pair à pair, avec un collègue formé.

Ce protocole doit être anticipé dès l’arrêt, et non improvisé le jour du retour.

 

5.                  Intégrer des solutions technologiques innovantes

De nombreuses solutions digitales permettent d’élargir l’accès au soutien psychologique, notamment dans les petites structures ou les environnements hybrides :

  • MonSherpa (chatbot thérapeutique) : disponible 24/7, il propose des exercices personnalisés, écoute et orientation,
  • Healthy Mind (réalité virtuelle) : immersion relaxante ou simulation d’expositions progressives pour mieux gérer le stress,
  • NeuroMind (neurofeedback) : dispositifs connectés pour renforcer la régulation émotionnelle à domicile,
  • VITA (coach IA adaptatif) : accompagnement individualisé basé sur le profil émotionnel et l’évolution des ressentis.

Ces technologies ne remplacent pas l’humain, mais offrent un complément accessible et confidentiel.

 

6.                  Piloter avec des données éthiques et utiles

Certaines plateformes permettent de cartographier anonymement l’état de bien-être des équipes à travers des sondages réguliers, des feedbacks, ou l’analyse de l’usage des outils collaboratifs.

Outils recommandés :

  • Supermood : analyse continue du climat social,
  • Zest : suivi du bien-être, de la motivation et du sens au travail.

Ces données ne doivent pas être utilisées comme des outils de contrôle, mais comme des leviers d’amélioration continue, en toute transparence avec les collaborateurs.

 

7.                  Co-construire une charte santé mentale / QVCT

Il est utile de formaliser l’engagement de l’organisation à travers une charte claire, visible et accessible à tous. Celle-ci doit inclure :

  • Les principes de prévention et d’accompagnement en cas de mal-être,
  • Les droits des collaborateurs et les relais internes disponibles,
  • Un cadre d’actions concrètes : formation, sensibilisation, évaluation, adaptation continue.

 

En 2025, cette démarche a été renforcée par le lancement national de la Charte d’engagement pour la santé mentale et l’emploi, co-portée par le gouvernement et l’Alliance pour la santé mentale. Elle propose un cadre de référence structuré autour de quatre axes prioritaires (sensibiliser, dialoguer, améliorer, accompagner), que les entreprises signataires s’engagent à mettre en œuvre dans un délai de trois ans. Ce socle national peut inspirer les organisations dans l’élaboration de leur propre charte interne.

 

Pour être vivante, cette charte ne doit pas être un document figé mais un outil d’animation du dialogue social, co-construit avec les collaborateurs, régulièrement mis à jour, et soutenu par la direction. Elle gagne à être accompagnée d’un budget dédié, d’indicateurs de suivi et d’un pilote identifié (RH, référent QVCT, binôme pair…).

 

Conclusion : agir maintenant, ensemble

Commencer par la santé mentale, c’est faire un choix clair : celui de ne plus ignorer, de ne plus minimiser, et surtout, de ne plus subir. C’est reconnaître que le bien-être psychique n’est pas un luxe ou un sujet annexe, mais un pilier de performance, de fidélisation et de cohésion durable.

 

La responsabilité est collective et distribuée :

  • L’individu a besoin d’un cadre où il peut s’exprimer sans crainte,
  • Le manager doit être formé et soutenu dans son rôle d’écoute de proximité,
  • Les RH ont un levier stratégique pour structurer les politiques de prévention,
  • L’organisation tout entière peut devenir un écosystème de soutien et de résilience.

 

En s’appuyant sur :

  • Les outils existants (PSSM, plateformes, protocoles),
  • Les ressources humaines et technologiques disponibles,
  • Et surtout, une culture du dialogue et de la confiance,

… il est possible de bâtir un environnement de travail plus sain, plus humain, plus durable.

Alors, plutôt que de se demander « par où commencer ? », posons une autre question, plus engageante et plus décisive :

Avec qui allez-vous avancer dès demain ?

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Comment gérer le trouble anxieux généralisé au travail ?

Comment gérer le trouble anxieux généralisé au travail ?

    💡 Comprendre le trouble anxieux généralisé

L’épanouissement au travail est un objectif commun pour de nombreux professionnels. Cependant, pour certains, ce chemin est entravé par des obstacles psychologiques tels que le trouble anxieux généralisé (TAG). Le TAG se caractérise par une anxiété excessive et persistante, difficile à contrôler, et affecte divers aspects de la vie, y compris le travail. Dans cet article, nous explorerons les impacts du TAG sur la vie professionnelle et proposerons des stratégies pour mieux gérer cette condition afin de favoriser un environnement de travail sain et productif.

 

🧠 Reconnaître les symptômes du TAG au travail

Le trouble anxieux généralisé peut se manifester de différentes manières au travail. Voici quelques symptômes courants :

1.   Inquiétudes excessives

Se préoccuper de manière excessive et persistante, souvent disproportionnée par rapport aux situations réelles.

 

2.     Difficulté à contrôler les inquiétudes

Avoir du mal à gérer ou à arrêter les pensées anxieuses, même en sachant qu’elles peuvent être irrationnelles.

 

3.     Fatigue

Se sentir constamment fatigué ou épuisé, même après avoir bien dormi.

 

4.     Irritabilité

Être facilement irritable ou agacé par des situations banales.

 

5.     Tensions musculaires

Avoir des muscles tendus ou douloureux, souvent au niveau des épaules, du cou ou du dos.

 

6.     Agitation

Se sentir nerveux, survolté ou incapable de rester calme.

 

7.     Difficultés de concentration

Avoir du mal à se concentrer, à se souvenir de détails ou à prendre des décisions.

 

8.     Troubles du sommeil

Avoir des difficultés à s’endormir, à rester endormi, ou avoir un sommeil de mauvaise qualité.

 

9.     Transpiration excessive

Transpirer de manière excessive, même sans effort physique.

 

10.    Nausées

Ressentir fréquemment des nausées ou des maux de ventre.

 

 

📉 Impact du TAG sur la vie professionnelle

Le TAG peut avoir des conséquences significatives sur la carrière d’un individu. Parmi les impacts les plus courants, on retrouve :

1.     Diminution de la productivité

L’anxiété constante peut entraîner des difficultés de concentration, ralentissant ainsi l’accomplissement des tâches.

 

2.     Absences fréquentes

Les symptômes physiques et psychologiques du TAG peuvent conduire à des absences répétées, affectant la présence et la continuité au travail.

 

3.     Qualité de travail réduite

La fatigue et les problèmes de concentration peuvent compromettre la qualité du travail réalisé, augmentant les erreurs et les oublis.

 

4.     Procrastination

L’anxiété peut amener les individus à retarder ou à éviter des tâches, surtout celles perçues comme stressantes ou difficiles.

 

5.     Relations professionnelles tendues

L’irritabilité et la difficulté à gérer le stress peuvent nuire aux interactions avec les collègues et les supérieurs, créant des tensions et des conflits.

 

6.     Évitement des opportunités

La peur de l’échec ou du jugement peut pousser à éviter les nouvelles responsabilités, les promotions ou les projets importants, limitant ainsi les perspectives de carrière.

 

7.     Baisse de la motivation

L’anxiété peut réduire la motivation et l’engagement au travail, affectant la satisfaction professionnelle et l’enthousiasme pour les tâches.

 

8.     Impact sur la santé physique

Les symptômes physiques tels que les maux de tête, les douleurs musculaires et les troubles du sommeil peuvent affecter la capacité à travailler de manière optimale.

 

9.     Risque d’épuisement professionnel (burnout)

Le stress chronique lié au TAG peut contribuer à l’épuisement professionnel, caractérisé par un sentiment de fatigue intense, de cynisme et de réduction de l’efficacité.

 

10. Climat de travail négatif

La présence d’un membre de l’équipe souffrant de TAG sans soutien adéquat peut influencer négativement l’atmosphère de travail, affectant le moral de l’ensemble de l’équipe.

 

11. Décisions impulsives ou inappropriées

L’anxiété peut altérer la capacité à prendre des décisions rationnelles et réfléchies, conduisant à des choix impulsifs ou inadaptés.

 

12. Réticence à participer aux activités de groupe

La peur de l’évaluation ou du jugement peut rendre difficile la participation aux réunions, aux formations ou aux activités sociales, limitant ainsi l’intégration et la collaboration.

 

 

🌱 Stratégies pour gérer le TAG au travail

 

🧘‍♂️ 1. Pratiquer la pleine conscience

La pleine conscience aide à se concentrer sur le moment présent et à réduire les pensées anxieuses. Des techniques comme la méditation, la respiration profonde et le yoga peuvent être intégrées dans la routine quotidienne pour apaiser l’esprit.

 

📅 2. Organiser son temps efficacement

Une bonne gestion du temps peut réduire le stress lié aux délais et aux charges de travail. Utilisez des outils de planification, établissez des listes de tâches et définissez des priorités claires pour vos activités quotidiennes.

 

💬 3. Communiquer ouvertement

Parlez de vos difficultés avec un supérieur ou un collègue de confiance. Une communication ouverte peut faciliter l’obtention de soutien et d’aménagements nécessaires pour mieux gérer le TAG, comme des horaires flexibles ou des ajustements de charge de travail.

 

🏃‍♀️ 4. Maintenir une bonne hygiène de vie

Adopter un mode de vie sain est essentiel pour gérer l’anxiété. Assurez-vous de faire de l’exercice régulièrement, de manger équilibré et de dormir suffisamment. Ces habitudes peuvent améliorer votre bien-être général et réduire les symptômes d’anxiété.

 

📚 5. Suivre des formations et ateliers

Participer à des formations sur la gestion du stress et des émotions peut offrir des outils pratiques pour mieux gérer l’anxiété au travail. Eklosia propose des formations professionnelles en intra et inter-entreprise qui peuvent être adaptées à ces besoins.

 

🧑‍🏫 6. Rechercher un accompagnement professionnel

Consulter un professionnel de la santé mentale peut offrir des stratégies personnalisées pour gérer l’anxiété. Eklosia propose des programmes d’accompagnement professionnel individualisé pour aider les individus à surmonter le TAG dans un cadre professionnel.

 

📖 7. Utiliser des ressources de développement personnel

Accéder à des ressources telles que des livres, des podcasts (comme celui d’Eklosia), et des articles sur la gestion de l’anxiété peut fournir des conseils pratiques et du soutien. Ces ressources peuvent aider à développer des compétences en matière de résilience et de gestion du stress.

 

💡 8. Établir des limites claires

Apprenez à dire non et à établir des limites claires pour éviter la surcharge de travail. Priorisez vos tâches et déléguez lorsque cela est possible pour gérer votre charge de travail de manière plus efficace.

 

🌿 9. Créer un espace de travail apaisant

Aménagez votre espace de travail de manière à le rendre aussi apaisant que possible. Utilisez des plantes, des couleurs apaisantes et gardez votre espace bien organisé pour réduire le stress.

 

🗣 10. Pratiquer des techniques de relaxation

Incorporez des techniques de relaxation dans votre journée de travail, comme des pauses de respiration profonde, des étirements ou de courtes promenades. Ces techniques peuvent aider à réduire le stress accumulé.

 

🎯 Conclusion : vers un épanouissement professionnel

 

Le trouble anxieux généralisé peut représenter un défi majeur dans le cadre professionnel, mais il est possible de le surmonter avec les bonnes stratégies et un soutien approprié. En reconnaissant les symptômes, en adoptant des techniques de gestion de l’anxiété et en recherchant un accompagnement adéquat, chaque individu peut progresser vers un environnement de travail plus épanouissant et productif.

Pour en savoir plus sur les programmes d’accompagnement professionnel d’Eklosia et découvrir nos ressources gratuites, visitez notre site web. Ensemble, travaillons à construire un avenir professionnel où le bien-être et la réussite vont de pair.

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« Au secours, je veux tout plaquer » : Retrouver l’équilibre au travail

« Au secours, je veux tout plaquer » : Retrouver l’équilibre au travail

🚩 Dans un monde où le travail occupe une place centrale dans nos vies, il n’est pas rare de ressentir parfois le désir de « tout plaquer ». Cette envie peut surgir d’une sensation de surmenage, d’un manque de reconnaissance, ou simplement de l’absence de plaisir dans les tâches quotidiennes. Mais avant de prendre des décisions radicales, explorons ensemble comment allier réussite professionnelle et épanouissement au travail.

 

🔍 Comprendre l’origine du malaise : Identifier les indices et symptômes du mal-être professionnel

Avant tout, il est crucial de comprendre d’où vient ce sentiment. Est-ce le résultat d’un surmenage chronique, d’une ambiance de travail toxique, ou d’un désalignement entre vos valeurs personnelles et celles de votre entreprise ? Une analyse approfondie de ces questions peut révéler des solutions moins drastiques que de « tout plaquer ».

 

  • Épuisement émotionnel et physique

    Se sentir constamment fatigué, même après un repos, peut indiquer un épuisement       professionnel. L’absence d’énergie pour participer à des activités qui vous plaisaient auparavant est un signe clair à ne pas négliger.

 

  • Diminution de la performance au travail

    Une baisse notable de votre performance et de votre productivité, accompagnée d’une difficulté à se concentrer et à terminer les tâches habituelles, peut refléter un désengagement du travail.

 

  • Sentiment de détachement ou de cynisme 

    Un sentiment accru de cynisme ou de détachement vis-à-vis de votre emploi, de vos collègues ou de l’entreprise elle-même est souvent un indicateur d’épuisement professionnel.

 

  • Problèmes de santé fréquents 

    Une augmentation des maux de tête, tensions musculaires, ou troubles du sommeil sont des signes physiques que votre corps peut vous envoyer pour signaler un stress excessif au travail.

 

  • Irritabilité ou changements d’humeur fréquents

    Si vous vous trouvez souvent irrité ou que vos humeurs fluctuent plus que d’habitude, cela pourrait être un signe de stress ou de frustration au travail.

 

  • Retrait social 

    Se retirer des interactions sociales au travail, comme les pauses café avec les collègues ou les déjeuners en groupe, peut indiquer un malaise croissant.

 

  • Désillusion par rapport à la carrière 

    Se sentir désabusé ou perdre l’intérêt pour des projets professionnels qui vous passionnaient auparavant peut être un signe de désengagement.

 

  • Sentiment d’inefficacité 

    Avoir l’impression que votre travail n’a pas d’impact ou que vos efforts sont vains peut être très démoralisant.

 

  • Procrastination accrue 

    Reporter régulièrement des tâches importantes ou avoir du mal à commencer vos journées peut refléter un manque de motivation lié à un déséquilibre professionnel.

 

🛑 Les dangers d’agir sur un coup de tête : Pourquoi la préservation de soi est essentielle

  • Agir sur un coup de tête, surtout dans un contexte professionnel, peut sembler tentant lorsqu’on se sent accablé ou frustré. Cependant, prendre des décisions impulsives peut avoir des conséquences durables non seulement sur votre carrière, mais aussi sur votre bien-être mental et votre sécurité financière. Prendre le temps de réfléchir avant d’agir permet de préserver son intégrité professionnelle et d’éviter des regrets futurs.

 

  • En effet, des décisions précipitées peuvent mener à des ruptures brusques, à des transitions de carrière non planifiées ou à la perte de relations professionnelles importantes. Ces actions peuvent également engendrer un stress supplémentaire, car elles ne laissent pas le temps nécessaire pour préparer une transition douce ou pour explorer toutes les options disponibles.

 

  • Pour se préserver, il est crucial d’aborder les défis professionnels avec calme et stratégie. Considérer des alternatives comme le dialogue avec des superviseurs, la recherche de conseils auprès de mentors, ou même la consultation avec un coach de carrière peut offrir des perspectives nouvelles et plus constructives. En fin de compte, se donner le temps de peser le pour et le contre avant de faire un choix majeur peut sauvegarder non seulement votre carrière, mais également votre équilibre personnel et professionnel.

 

🛡️L’urgence : Sécuriser votre situation professionnelle

Pour y parvenir, vous pouvez utiliser les 4 points clés suivants

  • Prenez une pause

    Si nécessaire, envisagez un arrêt de travail pour vous protéger d’un potentiel burn-out et éviter des comportements inappropriés au travail, qui pourraient découler d’une surcharge émotionnelle et être source de regrets ultérieurs.

 

  • Analyser en profondeur la situation actuelle

    Avant de prendre toute décision, évaluez soigneusement votre environnement de travail, vos relations avec les collègues et superviseurs, ainsi que votre satisfaction avec les projets en cours. Une compréhension claire de ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas vous aide à identifier des actions spécifiques qui peuvent améliorer votre situation sans nécessiter de changements drastiques.

 

  • Créez un plan d’action détaillé 

    Développez un plan d’action qui inclut des objectifs à court et à long terme pour votre carrière. Ce plan doit comprendre des étapes concrètes pour atteindre ces objectifs, comme l’acquisition de nouvelles compétences, l’amélioration de votre performance ou l’exploration de nouvelles opportunités au sein ou en dehors de votre entreprise actuelle.

 

  • Adoptez une approche proactive au travail 

    Soyez proactif dans vos tâches et prenez des initiatives qui peuvent non seulement améliorer vos résultats, mais également démontrer votre engagement et votre valeur ajoutée à l’équipe.

 

🛠️ Stratégies pour retrouver un épanouissement professionnel : Prendre des mesures concrètes

  • Redéfinir ses attentes et ses objectifs 

    Prenez le temps de définir ce que vous attendez réellement de votre carrière. Quels sont vos objectifs professionnels et personnels ? Aligner vos aspirations avec votre quotidien professionnel peut renouveler votre motivation.

 

  • Chercher des opportunités de développement de nouvelles compétences 

    Que ce soit par des formations, des séminaires ou des ateliers, enrichir vos compétences peut ouvrir des portes à de nouvelles opportunités au sein de votre milieu professionnel actuel ou ailleurs.

 

  • Instaurer un meilleur équilibre travail-vie personnelle

    : L’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est essentiel pour éviter le burn-out. Négocier des horaires flexibles ou le télétravail peut être une solution pour retrouver du plaisir au travail.

 

  • Dialoguer avec votre employeur 

    Avant de prendre des décisions hâtives, discutez de vos ressentis et de vos besoins avec votre employeur. Des ajustements dans vos responsabilités actuelles peuvent être envisagés pour mieux correspondre à vos attentes.

 

  • Prioriser le bien-être mental et physique 

    Intégrer des activités comme le yoga, la méditation ou des exercices réguliers peut grandement contribuer à améliorer votre bien-être général. Ne sous-estimez pas l’impact d’une bonne hygiène de vie sur votre performance professionnelle.

 

  • Créer un réseau de soutien 

    Dialoguer avec des collègues de confiance ou rejoindre des groupes de soutien professionnel peut vous fournir un espace sécurisé pour exprimer vos sentiments et partager des expériences.

 

  • Chercher des feedbacks constructifs 

    Demander régulièrement des retours sur votre travail peut vous aider à comprendre comment améliorer vos performances et vous réengager dans vos tâches.

 

  • Fixer des limites claires 

    Établir des limites claires entre le travail et la vie personnelle, comme des horaires de travail définis et des périodes de repos sans interruption, peut aider à réduire le stress.

 

  • Améliorer l’organisation et la gestion du temps 

    Utiliser des outils de gestion du temps, comme des calendriers et des listes de tâches, pour mieux organiser votre journée et réduire la sensation de surcharge.

 

  • Solliciter un mentor ou un coach 

    Travailler avec un mentor ou un coach peut fournir un soutien personnalisé et des conseils pour naviguer dans des situations professionnelles difficiles.

 

  • Considérer une reconversion professionnelle 

    Si le malaise persiste, envisager une reconversion peut être une option. Eklosia propose des sessions de coaching pour vous guider dans cette transition, en s’assurant que chaque étape est bien alignée avec votre vision de l’épanouissement professionnel.

 

Conclusion

Avant de décider de « tout plaquer », il est important de prendre du recul et d’évaluer toutes les options disponibles. Avec un accompagnement adéquat et des stratégies bien pensées, il est possible de transformer votre vie professionnelle en une source de satisfaction et d’épanouissement.

Souvenez-vous, l’épanouissement au travail n’est pas seulement un objectif lointain, mais un parcours continu qui mérite attention et soin.

🤝 Chez Eklosia, nous comprenons l’importance de l’épanouissement au travail. Nos coachs spécialisés en accompagnement professionnel sont là pour vous aider à naviguer ces périodes de doutes, à redéfinir vos objectifs et à optimiser votre parcours professionnel pour qu’il soit en harmonie avec vos aspirations personnelles.

🌱La solution Eklosia

Si vous souhaitez explorer davantage de solutions pour mener une carrière professionnelle alliant réussite et bien-être au travail, Eklosia propose des formations, ateliers et accompagnements individuels pour vous guider vers l’épanouissement au travail. Nous proposons:

5 formations professionnelles en inter ou en intra pour monter en compétence (https://eklosia.com/formations-professionnelles/),

5 programmes individuels d’accompagnement professionnel pour redessiner sa carrière (https://eklosia.com/programmes-individuels-daccompagnement-professionnel/)

– Une attention particulière à la qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) pour placer l’humain au coeur du travail (https://eklosia.com/qualite-de-vie-et-condition-de-travail-qvct/),

– Des ateliers sur plus de 10 soft skills sur demande,

– Des conseils sur mesure prenant en compte vos besoins et votre unicité,

– Une attention particulière à l’atypisme au travail (https://eklosia.com/atypisme-au-travail-faites-de-votre-hypersensibilite-ou-multipotentialite-une-force/).

 

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Les dangers de l’organisation excessive et de la sur-optimisation au travail

Les dangers de l’organisation excessive et de la sur-optimisation au travail

Dans notre quête incessante de productivité et d’efficacité au travail, l’organisation et l’optimisation semblent être les clés d’or ouvrant les portes du succès professionnel. Cependant, jusqu’où est-ce une bonne stratégie ? L’organisation excessive et la sur-optimisation peuvent-elles devenir des obstacles à notre bien-être et à notre performance ? Cet article explore les dangers cachés derrière de ces pratiques et offre des stratégies pour maintenir un équilibre sain entre efficacité et bien-être.

 

 

⚠️Les dangers de la sur-organisation

 

🔄 Paralysie par analyse : quand trop planifier gèle l’action

Lorsque trop de temps et d’énergie sont consacrés à la planification et à l’organisation, cela peut mener à ce que l’on appelle la « paralysie par analyse ». Cet état se produit lorsque la peur de prendre une mauvaise décision ou de ne pas choisir l’option optimale empêche toute action. Dans ce contexte, les individus procrastinent et se retrouvent souvent coincés dans un cycle infini de réflexion et de réévaluation, ce qui retarde significativement la progression des projets. En voulant contrôler chaque détail, nous nous retrouvons souvent englués dans la planification, au détriment de l’action. Cette surcharge cognitive peut mener à l’indécision et à une perte de spontanéité cruciale pour la créativité et l’innovation.

 

📉 Diminution de la flexibilité

Une organisation et une planification trop rigides peuvent réduire la capacité d’une personne à s’adapter rapidement aux changements ou aux imprévus. Dans un environnement de travail dynamique, où les conditions peuvent évoluer rapidement, une trop grande rigidité peut rendre difficile l’ajustement des plans en conséquence, limitant ainsi l’efficacité et l’opportunité de saisir de nouvelles possibilités.

 

🌪 Stress et anxiété accrus

Tenter de maintenir un contrôle absolu sur tous les aspects du travail à travers une organisation excessive peut conduire à un niveau de stress et d’anxiété élevé. Cette pression constante pour que tout soit parfait et totalement planifié peut être épuisante émotionnellement et mentalement, contribuant au burnout et à la détérioration de la santé mentale.

 

🔍 Perte de vision globale

En se concentrant trop sur les détails et la microgestion de chaque aspect du travail, il est facile de perdre de vue l’objectif global. Cette perte de perspective peut conduire à une inefficacité, où beaucoup d’efforts sont consacrés à des tâches de faible valeur, tandis que les objectifs stratégiques majeurs sont négligés.

 

🚀 Réduction de la créativité et de l’innovation

Une planification et une organisation excessives peuvent limiter les opportunités pour la créativité et l’innovation. La structure et l’ordre stricts peuvent entraver la pensée libre et expérimentale nécessaire pour développer de nouvelles idées et approches. La créativité prospère souvent dans un environnement où il y a de l’espace pour explorer et faire des erreurs.

 

🌱 Sacrifice du bien-être personnel

L’engagement dans une sur-organisation au travail peut conduire à négliger les besoins personnels, tels que le temps pour la détente, les loisirs, et les relations sociales. Cet équilibre entre vie professionnelle et vie privée est crucial pour le bien-être à long terme, et son absence peut avoir des conséquences négatives sur la santé physique et émotionnelle.

 

🔄 La boucle sans fin de l’optimisation : quand mieux n’est jamais assez

Cette quête incessante du « mieux » peut mener à une insatisfaction chronique et à l’épuisement professionnel. Le sentiment de « jamais assez » est un effet psychologique profond de la sur-optimisation. Rien de ce que nous faisons n’est suffisant. Cette mentalité peut miner la confiance en soi et la satisfaction professionnelle, car les objectifs semblent toujours se déplacer au fur et à mesure que nous nous approchons d’eux. Cela peut également conduire à une dévalorisation du travail déjà accompli, même si celui-ci est de haute qualité et atteint ses objectifs.

 

🚀 L’illusion de productivité : quand être occupé ne signifie pas être efficace

L’organisation excessive et la sur-optimisation peuvent créer une illusion de productivité où être constamment occupé éclipse l’importance de l’impact réel. Cette confusion entre activité et efficacité peut nous éloigner de nos véritables priorités.

 

📝 Les to-do listes à rallonge : l’art de s’enliser dans l’impossibilité

Dans le prolongement de notre discussion sur l’organisation excessive, abordons un symptôme courant de ce mal du siècle : les to-do listes interminables. Ces listes, censées nous aider à structurer nos tâches et à optimiser notre temps, peuvent rapidement devenir des chaînes nous enchaînant à une montagne de responsabilités irréalistes. Loin de nous rendre productifs, elles génèrent stress et sentiment d’échec lorsque, inévitablement, nous ne parvenons pas à tout accomplir.

 

 

🔑7 stratégies pour rééquilibrer votre approche de la productivité

🌱 Prioriser et simplifier

  • Identifiez vos priorités : distinguez ce qui est urgent et important de ce qui est moins prioritaire (matrice d’Einsenhower). Cela vous aidera à vous concentrer sur les tâches qui ont un réel impact sur vos objectifs.
  • Appliquez la règle du 80/20 : reconnaissez que 20 % de vos efforts produisent 80 % de vos résultats (Loi de Pareto). Concentrez-vous sur ces tâches à fort impact.

 

🔄 Adopter une flexibilité planifiée

  • Intégrez des blocs de temps flexibles : réservez des périodes dans votre emploi du temps pour l’imprévu ou pour réajuster vos plans selon les besoins.
  • Adoptez une mentalité agile : soyez prêt à ajuster ou à changer de direction en fonction des nouvelles informations ou des changements dans votre environnement de travail.

 

🚀 Développer une mentalité de croissance

  • Acceptez l’imperfection : reconnaître que la perfection n’est ni atteignable ni souhaitable peut réduire la pression et favoriser une approche plus saine du travail.
  • Voyez les erreurs comme des opportunités : chaque erreur est une chance d’apprendre et de s’améliorer, plutôt qu’un échec à éviter à tout prix.

 

🧠 Pratiquer la conscience et la réflexion

  • Méditez : des pratiques telles que la méditation et la pleine conscience peuvent aider à clarifier vos pensées et à réduire le stress.
  • Réfléchissez régulièrement : prenez du temps chaque semaine pour évaluer ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas, et comment vous pouvez ajuster votre approche.

 

📊 Établir des limites saines

  • Apprenez à dire non : vous ne pouvez pas tout faire. Dire non aux tâches de faible valeur ou qui ne correspondent pas à vos objectifs vous permet de vous concentrer sur ce qui compte vraiment.
  • Équilibrez travail et vie personnelle : assurez-vous d’avoir du temps pour vous reposer, vous amuser, et passer du temps avec vos proches.

 

💡 Cultiver la créativité

  • Créez de l’espace pour l’innovation : laissez de la place dans votre emploi du temps pour la réflexion créative et les projets passionnants.
  • Expérimentez : soyez ouvert à essayer de nouvelles méthodes de travail, outils, ou processus qui pourraient améliorer votre efficacité de manière non conventionnelle.

 

🌿 Pratiquer la déconnexion

  • Déconnectez régulièrement : s’accorder des moments sans travail, sans emails, et sans réflexion sur les tâches à venir est crucial pour recharger vos batteries mentales et émotionnelles.
  • Faites des pauses : Prendre régulièrement des pauses n’est pas un luxe, mais une nécessité pour recharger votre énergie mentale et physique, améliorant ainsi votre productivité et préservant votre santé à long terme.

 

 

🎯 En conclusion : trouvez votre juste milieu

L’organisation et l’optimisation sont sans aucun doute des outils puissants pour améliorer notre efficacité au travail. Cependant, il est vital de reconnaître quand ces outils commencent à nuire plus qu’à aider. En trouvant un équilibre sain, nous pouvons non seulement améliorer notre performance professionnelle, mais aussi notre qualité de vie globale.

L’objectif d’Eklosia n’est pas de vous enseigner comment faire plus en moins de temps, mais plutôt comment faire mieux avec le temps que vous avez. Il s’agit de trouver un équilibre entre ambition et bien-être, entre performance et pause. Nos formations sont là pour vous guider sur ce chemin, vous aidant à redéfinir vos priorités, à gérer votre stress et à optimiser votre temps de manière saine et durable. Ensemble, transformons vos défis en opportunités de croissance et de bien-être.

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Se remettre d’un burn-out : ne grillez pas les étapes!

Se remettre d’un burn-out : ne grillez pas les étapes!

  🌟 Se remettre d’un burn-out : ne grillez pas les étapes !

 

🌤️ Le burn-out, ce spectre qui hante le monde professionnel moderne, est plus qu’une simple fatigue passagère. C’est un état d’épuisement émotionnel, mental et physique causé par un stress excessif et prolongé. Il survient lorsque vous vous sentez débordé, émotionnellement vidé, et incapable de répondre aux demandes constantes. Cependant, la lumière est au bout du tunnel mais il ne faut pas griller les étapes! Se remettre d’un burn-out est non seulement possible, mais peut aussi être l’occasion de redécouvrir un équilibre de vie plus sain et plus satisfaisant. Dans cet article, je vous livre des outils et des méthodes pour non seulement guérir du burn-out, mais aussi pour rebâtir une vie professionnelle et personnelle équilibrée et épanouissante.

 

🔍 Les étapes du burn-out : un processus progressif de destruction

 

Le burn-out est souvent perçu comme une crise soudaine, mais c’est en réalité un processus graduel et insidieux. Comprendre ses étapes est essentiel pour sa prévention. Le burn-out ne se limite pas à un simple état de fatigue ; c’est une érosion progressive de la santé mentale et physique, qui se manifeste par une série d’étapes interconnectées. Ces étapes, si elles sont reconnues à temps, offrent des opportunités cruciales pour intervenir et empêcher une spirale descendante vers un état d’épuisement complet. Dans cette exploration des étapes du burn-out, je mets l’accent sur l’importance de la prévention, en soulignant comment chaque phase, bien que subtile au début, peut progressivement conduire à un effondrement total si elle n’est pas correctement gérée.

 

Reconnaître les signes avant-coureurs et comprendre comment le burn-out se développe peut vous équiper des outils nécessaires pour intervenir tôt et efficacement. Il est crucial de développer une conscience aiguë de son propre bien-être et de celui de ses collègues, favorisant ainsi un environnement de travail soutenant la santé mentale et le bien-être global. En agissant dès les premiers signes, vous pouvez prévenir les effets dévastateurs du burn-out et maintenir un équilibre sain entre le travail et la vie personnelle.

 

1.    🚀 Le stade de l’engagement excessif :

Début du parcours, caractérisé par un engagement professionnel intense. L’individu est très motivé, s’implique énormément dans son travail, parfois au détriment de son équilibre de vie.

2.    🥗 La phase de négligence des besoins personnels :

La personne commence à négliger ses besoins personnels comme le sommeil, la détente, et l’alimentation. L’accent est mis presque exclusivement sur le travail.

3.    📉 La substitution des besoins :

Les besoins personnels sont de plus en plus remplacés par les objectifs du travail. La personne peut recourir à des comportements comme le travail excessif pour compenser un sentiment de vide ou de stress.

4.    🤯 L’escalade des conflits :

Les conflits au travail et/ou dans la vie personnelle commencent à émerger. L’individu peut ressentir un déséquilibre croissant et de la frustration.

5.    ⚖️ La réévaluation des valeurs :

Les valeurs personnelles sont souvent modifiées, avec un accent mis sur le travail au détriment d’autres aspects de la vie. La vie sociale peut en pâtir.

6.    🚧 Le déni des problèmes émergents :

L’individu peut nier qu’il y a un problème, souvent en se plaignant de ses collègues, de la charge de travail, et de la pression du milieu professionnel.

7.    🏠 Le retrait :

Retrait social et émotionnel. L’individu peut commencer à éviter les interactions professionnelles et personnelles.

8.    🔄 Les changements de comportement :

Changements notables dans le comportement, souvent observés par l’entourage. Cela peut inclure l’irritabilité, la sensibilité accrue et l’isolement.

9.    🎭 La dépersonnalisation :

Perte de contact avec soi-même et les autres. La personne peut se sentir étrangère à sa propre vie, agissant mécaniquement.

10.  🕳️ La sensation de vide intérieur :

Un sentiment de vide et de désespoir peut s’installer, souvent accompagné d’activités compulsives (travail, consommation d’alcool, etc.) dans une tentative de remplir ce vide.

11.   😔 La dépression :

La dépression est une étape courante dans le processus du burn-out. Elle se caractérise par un sentiment de désespoir, de tristesse, d’indifférence et une perte d’estime de soi.

12.   🆘 La crise totale de burn-out :

Ce stade final se manifeste quand l’individu est incapable de continuer à fonctionner normalement dans sa vie professionnelle ou personnelle. Cela peut ressembler à un effondrement émotionnel et physique nécessitant souvent une intervention médicale ou psychologique.

 

 

🌱 Les étapes pour se remettre d’un burn-out : un chemin vers la guérison

 

1.      🤔 Reconnaissance et acceptation :

Admettre que vous vivez un burn-out est la première étape cruciale. Cette première étape est, selon moi, la plus difficile, car il faut accepter sa vulnérabilité et faire preuve d’auto-empathie. Cela implique d’accepter que vous ayez besoin de temps et d’aide pour vous rétablir.

2.      🛌 Repos et détachement :

Prendre un congé du travail ou réduire considérablement vos engagements professionnels est essentiel. Cela permet à votre corps et à votre esprit de commencer le processus de guérison.

3.      🩺 Évaluation de la santé physique et mentale :

Consultez un professionnel de la santé pour évaluer l’impact du burn-out sur votre santé physique et mentale. Suivez les recommandations médicales pour votre rétablissement.

4.      💬 Recherche de soutien psychologique :

Parler à un psychologue ou à un coach professionnel peut vous aider à comprendre les causes de votre burn-out et à élaborer des stratégies pour éviter qu’il ne se reproduise.

5.      ⚖️ Réévaluation des priorités et des valeurs :

Réfléchissez à ce qui est vraiment important pour vous. Cela peut inclure un rééquilibrage entre vie professionnelle et personnelle, ainsi qu’une réévaluation de vos objectifs de carrière.

6.      🧘‍♀️ Développement de compétences en gestion du stress :

Apprenez et pratiquez des techniques de gestion du stress telles que la méditation, le yoga, ou d’autres activités relaxantes.

7.      📈 Réintégration progressive au travail :

Commencez par un retour progressif au travail. Discutez avec votre employeur des ajustements possibles, comme des horaires flexibles ou une réduction des charges de travail.

8.      🌟 Mise en place d’un équilibre de vie sain :

Établissez un équilibre entre le travail, les loisirs, et le temps passé avec la famille et les amis. Priorisez les activités qui vous apportent de la joie et du bien-être.

9.      📚 Apprentissage continu et adaptation :

Soyez ouvert à l’apprentissage continu et à l’adaptation de votre style de vie. Il est important de rester attentif aux signaux de votre corps et de votre esprit. Lisez Carol Dewck (https://fr.wikipedia.org/wiki/Carol_Dweck) qui vous expliquera qu’il existe deux types de mentalités, le « mindset fixe » où l’on croit que les qualités sont immuables, et le « mindset de croissance » où l’on pense que les capacités et l’intelligence peuvent être développées avec l’effort et le temps.

10. ✨Maintien des changements positifs :

Intégrez et maintenez les changements positifs dans votre vie. Cela peut inclure des routines régulières de bien-être, des limites professionnelles claires, et une attitude proactive envers votre santé mentale.

 

 

🔧 Outils et méthodes pour se remettre d’un burn-out

 

1.      💬 Thérapie et coaching professionnel :

Consulter un thérapeute ou un coach professionnel, comme ceux d’Eklosia, pour vous aider à comprendre les racines de votre burn-out et élaborer un plan de guérison personnalisé. Cela évitera également une guérison précaire et la reproduction de schémas toxiques à l’avenir.

2.      🧘‍♀️Gestion du stress et relaxation :

Pratiquez régulièrement des techniques de relaxation comme la méditation, le yoga ou la pleine conscience pour réduire le stress.

3.      📅 Planification et gestion du temps :

Utilisez des outils de planification pour gérer votre temps efficacement, en allouant des périodes de repos et des moments pour les activités qui vous ressourcent.

4.      📓 Journal introspectif :

Tenir un journal pour réfléchir à vos journées, vos sentiments, et votre progression. Cela peut être un excellent outil pour prendre conscience de vos pensées et émotions.

5.      👥 Réseautage de soutien :

Construisez un réseau de soutien composé de collègues, d’amis et de membres de la famille qui comprennent ce que vous traversez et peuvent offrir un soutien émotionnel. Il existe également des associations comme les burn’ettes (https://lesburn-ettes.com/) ou des maisons de repos spécialisées dans le burn-out comme la bulle de vert en Normandie (https://labulledevert.fr/).

6.      🏞️Activités revitalisantes :

Engagez-vous dans des activités qui vous revitalisent, que ce soit des loisirs créatifs, des activités en plein air, ou des passions personnelles.

7.      🥗 Alimentation saine et exercice physique :

Adoptez une alimentation équilibrée et un régime d’exercices physiques réguliers pour améliorer votre santé physique et mentale.

8.      🎯 Objectifs réalistes et flexibles :

Fixez-vous des objectifs professionnels et personnels réalistes et flexibles, et célébrez les petites victoires sur le chemin de la guérison.

 

 

🌈 Conclusion

 

Se remettre d’un burn-out n’est pas une tâche facile, chaque étape est importante. C’est un processus qui nécessite du temps, de la patience et souvent des changements significatifs dans votre vie. En utilisant les outils et méthodes adaptés, vous pouvez non seulement vous rétablir, mais aussi construire une vie plus équilibrée, satisfaisante et résiliente. Rappelez-vous que chaque petit pas compte et que demander de l’aide est un signe de courage et de force.

Eklosia est là pour vous accompagner dans ce voyage vers le rétablissement et le bien-être et vous soutenir à chaque étape.

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